François tweete pour confirmer davantage son hérésie révolutionnaire sur le divorce et le « remariage »

Comme beaucoup le savent, l' « exhortation apostolique » de François,  Amoris Laetitia  (La joie de l’amour), enseigne officiellement que les gens vivant dans l’adultère et des « seconds mariages » invalides, peuvent être en état de grâce et recevoir la sainte Communion. Cela signifie que la secte Vatican II sous l’antipape François renie, officiellement et publiquement, aussi bien le dogme catholique sur l’indissolubilité du mariage, que l’enseignement de l’Église qui déclare que ceux qui vivent en adultère ou dans des « seconds mariages » ne peuvent pas recevoir la Communion. Gardez à l’esprit que Amoris Laetitia (le document qui contient cet enseignement révolutionnaire) est l’enseignement officiel de François à l’Église Vatican II tout entière. Il est adressé à tous les « évêques, prêtres, diacres, personnes consacrées, couples et fidèles laïques. » Évidemment, ceci est une hérésie majeure qui constitue plus de preuves infaillibles que François est un hérétique publique et un antipape.  Sa secte, à l’évidence, n’est pas l’Église catholique. Elle n’est plutôt rien d’autre qu’une secte non-catholique qui permet le divorce et le « remariage. » Ce développement est, effectivement, une défense fracassante de plus, pour les vrais catholiques ayant fait remarquer que les prétendants post-Vatican II à la papauté ne sont pas de vrais papes. Cela représente une défaite humiliante de plus pour les faux-traditionalistes ainsi que les défenseurs de la Contre-Église (tels les groupes du genre FSSPX).  Une fois encore, aussi bien les faits que la réalité ont prouvé la fausseté complète de ces derniers et de leur fausses positions.

Ceux qui demeurent obstinément unis à l’antipape François, demeurent unis à un hérétique notoire et une secte non-catholique. Ils se placent en dehors de l’Église catholique.

De nombreux membres de la secte Vatican II se sont rendus à l’évidence : Amoris Laetitia  enseigne effectivement que les gens vivant en adultère ou dans des seconds « mariages » invalides peuvent être en état de grâce et recevoir les sacrements, ce qui inclue la sainte Communion. Quiconque nie que le document en question contienne cet enseignement hérétique est un menteur. On trouve clairement cet enseignement aux endroits suivants (parmi d’autres) – et gardez à l’esprit que les deux passages qui suivent s’assemblent, puisque la dernière est une note explicative de l’article la précédant :

Antipape François, Amoris Laetitia, ar. 305, parlant d’unions irrégulières (c.-à-d., adultérines) : « À cause des conditionnements ou des facteurs atténuants, il est possible que, dans une situation objective de péché – qui n’est pas subjectivement imputable ou qui ne l’est pas pleinement – l’on puisse vivre dans la grâce de Dieu, qu’on puisse aimer, et qu’on puisse également grandir dans la vie de la grâce et dans la charité, en recevant à cet effet l’aide de l’Église.» [1]

Antipape François, Amoris Laetitia, note n° 351, extension de l’article 305 : « Dans certains cas, il peut s’agir aussi de l’aide des sacrements. Voilà pourquoi, “aux prêtres je rappelle que le confessionnal ne doit pas être une salle de torture mais un lieu de la miséricorde du Seigneur” : Exhort. ap. Evangelii gaudium (24 novembre 2013), n. 44 : AAS 105 (2013), p. 1038. Je souligne également que l’Eucharistie “n’est pas un prix destiné aux parfaits, mais un généreux remède et un aliment pour les faibles” (Ibid., n. 47 : p. 1039).

L’enseignement hérétique du document qui déclare que les gens se trouvant dans des situations adultérines et des seconds « mariages » invalides peuvent être en état de grâce et peuvent être admis en Communion, est très clair. Le tweet de François est un autre exemple de son culot et obstination hérétiques. Il balance son enseignement révolutionnaire aux visages des gens. Rester sous l’antipape François, c’est adhérer à une secte non-catholique : la Contre-Église Vatican II.

En effet, cette dernière hérésie de François est un excellent exemple de la raison pour laquelle l’Église catholique enseigne que les gens tel que l’antipape François, lequel enseigne des hérésies notoires et professe une fausse foi au for externe, ne doivent pas être considérés comme se trouvant dans l’Église catholique ou occupant une fonction dans l’Église catholique. Car les multitudes qui pensent à tort que François est le pape, adopteront et suivront bien sûr son enseignement erroné sur le divorce et le « remariage, » et perdront leur âme ce-faisant.  Ainsi, les défenseurs de l’antipape François commettent non seulement le péché grave de demeurer obstinément en communion avec un hérétique notoire et une secte non-catholique, mais ils contribuent aussi à damner un nombre incalculable d’autres gens, en leur disant de reconnaître un homme qui les conduit dans le péché mortel et l’hérésie par son enseignement officiel.

Note :