Le pathétique et hérétique chef de la FSSPX, Mgr Bernard Fellay, intimidé face à un journaliste antéchrist

Fellay se distancie littéralement de toute critique des juifs, tout en omettant de les appeler à la conversion. Il est également en accord avec la déclaration de Federico Lombardi (le directeur apostat du bureau de presse de la secte Vatican II) qu' « il est impossible de parler des juifs comme des ennemis de l'Église » (1:55). Fellay déclare que ce n'était « jamais son intention » d'étiqueter les juifs comme des ennemis de l'Église, malgré qu'il ait été rapporté que ceci fut, en effet, ce qu'il a déclaré. Le retour en arrière de Fellay doit être pris comme malhonnête. Fellay affirme maintenant qu'il voulait, en réalité, dire que les juifs considèrent l'Église comme leur ennemi, et non pas qu'il considérait lui-même les juifs comme des ennemis de l'Église. Fellay n'exprime aussi pas une seule fois l'enseignement catholique que les juifs et les autres non-catholiques sont sur la route de la damnation et ont besoin de se convertir au catholicisme pour être sauvés. Ceci aurait été la réponse charitable.

Fellay se met littéralement à ne pas défendre le fondateur de sa société, Marcel Lefebvre, de l'accusation de « diffamation » envers les musulmans. En 1990, un tribunal français a condamné Lefebvre pour « diffamation, » pour avoir critiqué l'immigration musulmane et avoir dit que musulmans devraient rentrer chez eux. Il est évident que la position de Lefebvre sur cette question était légitime. Au lieu de la défendre, Fellay sous-entend que l'action de Lefebvre était blâmable, même si elle n'était qu'une une erreur « marginale » ou insignifiante. Peut-être que Fellay ne voulait pas offenser les non-catholiques ou les apostats dans la secte Vatican II en défendant l'action de Lefebvre et en identifiant l'islam pour ce qu'elle est : une fausse religion totalement diabolique fondée par un pervers et un faux prophète.

Fellay permet à un homme véritablement malfaisant et haïssant la vérité de le réprimander et de lui inspirer de la honte à plusieurs reprises, à lui et à d'autres, pour avoir des inclinaisons ou quelque allégeance à la tradition catholique. Fellay ne répond pas d'une manière véridique et forte pour réprimander l'homme dont la belligérance et la méchanceté demandait une condamnation énergique. En bref, l'incapacité de Fellay à dénoncer et condamner le mal lorsqu'il le fallait était absolument évident. Il montre qu'il est dépourvu de grâce, de foi, de bonté, de force spirituelle et de charité.

Fellay n'est pas tout à fait sûr s'il se repent d'avoir été consacré évêque. Sur ce point, il dit : « Non, je ne pense pas. » Fellay n'est sûr de presque rien, ou il est à tel point pris par le respect humain qu'il ne peut exprimer une position claire et ferme sur presque rien.

La position totalement incohérente et contradictoire de la FSSPX vis-à-vis de Vatican II et ses antipapes est mise en lumière dans cette entrevue. L'intervieweur indique correctement que si vous acceptez l'autorité des hommes qui ont promulgué Vatican II, le concile était « obligatoire pour tous. » Fellay répond en disant « ceci n'est pas vrai. » Fellay a absolument tort, bien sûr, comme nos travaux le documentent. En exprimant sa fausse position sur Vatican II, Fellay avance un faux argument au sujet de la note théologique attachée à Lumen Gentium qui est traitée et réfutée dans notre vidéo : Vatican II était-il infaillible ? (entre autres).

Fellay est interrogé à plusieurs reprises au sujet du monumental apostat et malfaisant complet antipape François. L'intervieweur donne à Fellay toutes les occasions pour dénoncer et condamner François. Or, le malfaisant et infidèle Fellay se dérobe à presque toute critique de François, et certainement à toute condamnation à son encontre – malgré le fait que François est l'un des individus les plus hérétiques et dégoûtant à avoir jamais marché sur la Terre. L'antipape François est un hérétique notoire et apostat qui enseigne des énormes hérésies hebdomadairement. François emmène d'innombrables personnes dans l'hérésie et en Enfer. Pourtant, Fellay ne le condamne pas, et il le critique à peine. Gardez à l'esprit, cependant, que tandis que Fellay, si vide de grâce et de foi qu'il ne peut pas condamner François, cautionne néanmoins des attaques publiques contre les vrais catholiques qui tiennent la position sédévacantiste. Avec son entier soutien, son groupe a récemment publié un livre truffé d'erreurs et de mensonges qui dénonce le sédévacantisme comme « diabolique, » « malfaisant, » « hérétique, » « une secte ; » mais Fellay ne peut pas même prononcer quelques mots en condamnation de l'antipape notoire François. Ceci en dit long sur Fellay : il est du Diable. Voilà pourquoi il met son énergie et son nom derrière l'attaque de la vraie position catholique, mais il est incapable de condamner le mal réel : l'hérétique antipape François.

Fellay est interrogé à propos des « chrétiens » persécutés dans le monde entier. Il dit que « nous souffrons avec eux. » Cependant, il ne parvient pas à distinguer entre les catholiques et les hérétiques qui prétendent faussement être chrétiens. Peut-être qu'il craignait les condamnations de Sebastian.

Fellay exprime la position de la secte Vatican II sur l'homosexualité. Il déclare que d'avoir des tendances homosexuelles (à savoir être « gay ») ne signifie pas qu'une personne est mauvaise, si elle ne se livrent pas à des actes homosexuels. Il contredit ainsi l'Écriture, qui enseigne que les inclinations non-naturelles sont le résultat de l'apostasie et du péché. Fellay semble même en accord avec l'intervieweur que l'homosexualité est une sorte d' « orientation sexuelle » légitime (20:01). Non, c'est une perversion démoniaque.

Aux alentours de la 24^ème minutes, l'intervieweur interroge Fellay au sujet de « parler avec les autres religions. » Venant de la bouche de quelqu'un comme Sebastian, cette question fait évidemment référence ou comprend le faux œcuménisme, le dialogue interreligieux, etc. dans le style de la secte Vatican II. En réponse, Fellay n'a exprimé aucune condamnation du faux œcuménisme, du dialogue interreligieux ou de quelque chose de la sorte. Il n'a pas exprimé du tout la nécessité d'être catholique ou de condamner l'indifférentisme religieux. Au lieu de cela, il a déclaré qu'il parle avec les autres religions, mais « discrètement. » Fellay a ajouté qu'il a des « amis » juifs, et qu'il n'a « aucun problème » à cet égard. Sa réponse peut facilement être prise pour une acceptation, à un certain niveau, du faux œcuménisme et du dialogue interreligieux avec les juifs et les membres d'autres religions. Ses paroles pourraient également impliquer que Fellay ne condamne pas les fausses religions en question, ou soutient que leurs membres ne sont pas sur le chemin qui mène en Enfer. Comme nos travaux le documentent, Fellay croit, en réalité, que les hindous, les juifs, les bouddhistes, etc. peuvent être sauvés sans la foi catholique. Ceci est une hérésie. Elle nie le dogme Hors de l'Église catholique pas de salut. Voilà la position de la FSSPX, que nos travaux exposent. Fellay n'a pas la foi catholique, et il ne professe pas la foi catholique.

Nous avons trouvé cela particulièrement embarrassant : l'agressif et démoniaque Sebastian interroge le pathétique Fellay sur le scandale des abus sexuels parmi les « évêques » et « prêtres » apostats dans la secte Vatican II. Sebastian voulait que Fellay se soumette, se prosterne devant lui dans la honte. On voyait là le symbole du « catholique » que l'on parvient à faire se prosterner devant les représentants du monde et des juifs. Sebastian a ainsi pressé Fellay, en lui demandant : « inclinez-vous la tête de honte ? » (21:25) Sebastian voulait que Fellay reconnaisse qu'il devait avoir honte de lui-même. Ne voulant pas déplaire à l'antéchrist, Fellay a répondu en affirmant qu'il incline, en effet, la tête de honte. La timidité et la soumission de Fellay envers le non-catholique était pathétique et scandaleux. Fellay ne représente pas l'Église militante, qui ne se prosterne pas dans la défaite devant Satan et ses sbires.

Certes, il n'y aucun mal à sourire quand cela est justifié ou naturel, mais le besoin qu'a eu Fellay de sourire presque constamment, y compris face aux mensonges, aux fausses déclarations scandaleuses et aux attaques diaboliques, révèle qu'il est un imposteur, un faux et un hypocrite. Il ne hait pas le mal, et ne peut donc pas aimer Dieu. Il veut désespérément plaire aux hommes et être accepté par eux, et voilà pourquoi il ne plaît pas à Dieu ou ne reçoit pas la grâce de croire.

Le fait qu'un tel individu pathétique gouverne la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X en dit long sur leur groupe hérétique.