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Les scandales et hérésies de Jean XXIII
Sommaire :
Certaines activités de Jean XXIII avant son « élection » de 1958 en tant que « pape »
Jean XXIII aurait été franc-maçon
Activités et déclarations de Jean XXIII après son « élection » de 1958 en tant que « pape »
Jean XXIII sur les hérétiques, les schismatiques et non-catholiques
Jean XXIII sur le socialisme et le communisme
Jean XXIII loué par des franc-maçons et des communistes durant son « pontificat »
Jean XXIII et les juifs
La mort de Jean XXIII
Un hérétique ne peut pas être un pape valide
Examinons certains faits au sujet d’Angelo Roncalli (Jean XXIII). Né en 1881, Jean XXIII occupa des postes diplomatiques en Bulgarie, en Turquie et en France. Roncalli fut également le « patriarche » de Venise.
Certaines activités de Jean XXIII avant son « élection » de 1958 en tant que « pape »
Pendant des années, le Saint Office avait gardé un dossier sur Angelo Roncalli où l’on pouvait lire la mention : « suspecté de modernisme. » Le dossier date de 1925 lorsque Roncalli, alors connu pour ses enseignements non orthodoxes, se vit retirer brusquement sa charge de professeur au séminaire du Latran en mi-semestre et fut envoyé en Bulgarie. Ce transfert en Bulgarie marqua le début de sa carrière diplomatique. Rome se souciait particulièrement de l’association étroite et continue de Roncalli avec le prêtre défroqué Ernesto Buonaiuti, excommunié pour hérésie en 1926. [2]
Dès 1926, Angelo Roncalli (Jean XXIII) avait écrit à un schismatique orthodoxe :
Par cette déclaration, Roncalli signifiait que l’unique et vraie Église n'a pas encore été établie.
En 1935, Angelo Roncalli arriva en Turquie et devint l’ami du ministre des Affaires étrangères, Naman Rifat Menemengioglu. [4] Menemengioglu avait dit à Roncalli : « La laïcité de l'État est notre principe fondamental et la garantie de notre liberté. » La réponse de Roncalli : « L'Église se gardera bien d’enfreindre votre liberté. » [5]
Alors en Turquie, Roncalli déclara aussi : « Vous les Irlandais, vous êtes impossibles. À l’instant où vous venez au monde, avant même que vous soyez baptisés, vous commencez à damner tous ceux qui n’appartiennent pas à l'Église, spécialement les protestants ! » [6]
Voici une autre citation qui démontre les vues hérétiques de Roncalli : « La faction extrémiste anti-catholique de l'Église grecque orthodoxe annonça avec jubilation un accord passé entre l'Église d'Angleterre par lequel chacun reconnaissait la validité des saint Ordres de l’autre. Mais Roncalli était vraiment heureux. Aux Grecs qui lui avaient sournoisement demandé ce qu’il pensait de l’accord, il leur dit sincèrement, “Je n'ai rien que des éloges pour nos frères séparés, pour leur zèle à se rapprocher de l'union de tous les chrétiens”. » [7]
Desmond O'Grady, ancien correspondant du Vatican pour le Washington Post, avait rapporté que tandis qu’il était stationné à Istanbul en 1944, Roncalli « fit un sermon au sujet d’un concile qui se tiendrait dans la période après-guerre. » [8] Quand Roncalli était nonce en France, il fut nommé observateur du Saint-Siège à l'UNESCO, l'agence culturelle des Nations Unies. En juillet 1951, il prononça un discours, « en faisant de grandes éloges à l'UNESCO... » [9] Roncalli appelait l'UNESCO « cette grande organisation internationale... » [10]
Lorsqu’Angelo Roncalli était nonce en France, il nomma son ami proche Yves Marsaudon, baron et franc-maçon du 33° degré, à la tête de la branche française des Chevaliers de Malte — un ordre catholique profane. [11]
Jean XXIII aurait été franc-maçon
Yves Marsaudon, le franc-maçon et écrivain français susmentionné, affirme aussi que Roncalli (Jean XXIII) devint un franc-maçon du trente-troisième degré alors qu’il était nonce en France. Mary Ball Martinez a écrit que des gardes républicains français avaient observé depuis leurs postes : « ... le Nonce [Roncalli] en tenue civile quittant sa résidence pour assister aux réunions du Jeudi soir [de la Loge maçonnique] du Grand Orient de France. Alors que la révélation d’un si incroyable conflit de loyautés perturberait l’homme moyen, qu’il soit catholique ou franc-maçon, Angelo Roncalli semble l’avoir pris avec sérénité. » [12]
Le magazine 30 Days avait interviewé, il y a quelques années de cela, le chef des franc-maçons italiens. Le Grand maître du Grand Orient d’Italie déclara : « À ce propos, il semble que Jean XXIII fut initié (dans une loge maçonnique) à Paris et participa aux travaux des Ateliers d’Istanbul. » [13]
Une fois à Paris, « Mgr » Roncalli, lors d’un dîner de gala, se trouva placé à côté d’une femme qui était habillée d’un décolleté très impudique. Une certaine gêne flottait autour de la table de Roncalli. Les convives ne quittaient pas le nonce des yeux. Roncalli rompit le silence en déclarant avec humour :
Quand Jean XXIII fut « élevé » plus tard au Collège des cardinaux, il insista pour recevoir la barrette rouge des mains du président français Vincent Auriol, athée et socialiste anticlérical notoire, qu’il avait décrit comme « un honnête socialiste. » [15]
Roncalli s’était agenouillé devant Auriol, et Auriol posa la barrette de cardinal sur la tête de Roncalli. Auriol accrocha ensuite un « large ruban rouge autour du cou du cardinal, l’embrassant sur chaque joue, le prenant dans ses bras, ce qui conféra au protocole formel une cordialité toute personnelle. » [16] Auriol dut essuyer ses larmes avec un mouchoir lorsque Roncalli partit assumer sa nouvelle dignité de « cardinal. » [17]
À Paris, Roncalli (Jean XXIII) fréquentait souvent l’ambassadeur soviétique, M. Bogomolov, bien que le gouvernement de Bogomolov eût centré sa politique d’avant-guerre sur l’extermination brutale des catholiques en Russie.
Jean XXIII était aussi connu pour être « un grand ami et confident » d’Édouard Herriot, secrétaire du parti radical socialiste anti-catholique de France. [18] « Le meilleur ami de Roncalli était certainement le vieux socialiste et anti-clérical Édouard Herriot. » [19]
Avant que Roncalli ne quittât Paris, il offrit un dîner d'adieu à ses amis. « Parmi les invités figuraient des politiciens de droite, de gauche et du centre, unis en cette occasion dans leur affection pour leur sympathique hôte. » [20] Lorsque Roncalli était « cardinal » de Venise, il « n’offrit aucune prise aux attaques des communistes. Les habituelles insultes anticléricales cédèrent la place à une tolérance respectueuse. » [21] Alors à Venise, le « cardinal » Roncalli « exhorta les fidèles à accueillir les socialistes de toute l'Italie, qui tenaient leur trente-deuxième congrès à Venise. » [22]
« Voici ce qu’on pouvait lire textuellement sur les affiches que le Patriarche [Jean XXIII] avait fait apposer sur les murs de Venise en février 1957, à l’occasion du trente-deuxième Congrès du Parti Socialiste (de gauche) Italien (P.S.I.) : “Je salue cet événement extraordinaire qui a tant d’importance pour l’avenir de notre pays.” » [23]
Roncalli prit une fois la parole à l’hôtel de ville de Venise. Il déclara :
Ceci est ouvertement hérétique.
Activités et déclarations de Jean XXIII après son « élection » de 1958 en tant que « pape »
Peu de temps après avoir été « élu » et avoir déménagé au Vatican, « Jean XXIII trouva une statue antique d’Hyppolyte, un antipape du 3e siècle. Il fit restaurer la statue et la plaça à l'entrée de la Bibliothèque du Vatican. » [26] « Des visages déçus remplissaient à présent la place Saint-Pierre car, lorsque Jean XXIII s’avança pour les bénir, c’est à peine s’il leva les bras. Son signe de croix parut aux Romains un geste mesquin partant tout juste des poignets, à peine visible et ne montant guère plus haut que le niveau des hanches. » [27]
« Jean XXIII se disait gêné qu’on s’adresse à lui par “Sainteté” [ou] “Saint-Père”... » [28] « Longtemps, il continua de dire “je” au lieu de “nous,” dans ses discours officiels. Or, les papes emploient toujours, tout au moins dans les circonstances officielles, le pluriel de majesté. » [29]
Quand Jean XXIII publia une encyclique sur la pénitence, celle-ci ne proclamait aucun jeûne ni même un jour obligatoire d'abstinence en nourriture ou plaisirs séculiers. [30] Jean XXIII disait de lui-même : « Je suis le Pape qui appuie sur l'accélérateur. » [31]
Le père de Jean XXIII était un vigneron. Parlant de son père, Jean XXIII dit :
Jean XXIII sur les hérétiques, les schismatiques et non-catholiques
Jean XXIII décrivait ainsi son opinion sur ce que devait être l'attitude du concile Vatican II à l'égard des sectes non-catholiques : « Nous n'avons pas l'intention de mener un procès du passé. Nous ne voulons pas prouver qui avait raison ou qui avait tort. Tout ce que nous voulons dire c'est, “Rassemblons-nous, mettons fin à nos divisions.” » [33] Ses instructions au “cardinal” Béa, chef du Secrétariat du Conseil pour l’unité des chrétiens étaient : « Nous devons laisser de côté, pour le moment, ces éléments sur lesquels nous différons. » [33]
Une fois, un « membre du Congrès annonça : “Je suis Baptiste [protestant].” Souriant, Jean XXIII lui dit : “Eh bien moi je suis Jean.” » [35] Jean XXIII avait dit au non-catholique Roger Schutz, fondateur de la communauté œcuménique de Taizé (un monastère œcuménique non-catholique) : « “Vous êtes dans l'Église, allez en paix.” Et alors que frère Roger [Schutz] insistait : “Mais alors, nous sommes catholiques !” , il [Jean XXIII] déclara : “Oui, nous ne sommes plus séparés.” » [36]
Ceci est ouvertement hérétique.
Jean XXIII avait reçu au Vatican le premier « archevêque » de Canterbury, le premier « prélat » de l’Église épiscopale des États-Unis, et le premier grand-prêtre shinto. [38] Jean XXIII fit une fois remarquer : « Si j’étais né musulman, je crois que serais toujours resté bon musulman, fidèle à ma religion. » [39]
L’un des premiers actes de Jean XXIII fut de recevoir en audience le Shah musulman d'Iran. Lorsque le Shah d’Iran était sur le point de partir, « Jean XXIII lui donna sa bénédiction qu’il avait délicatement reformulée pour éviter d'offenser les principes religieux mahométans : “Que la plus abondante faveur de Dieu tout-puissant soit avec vous.” » [40]
En reformulant la bénédiction, Jean XXIII avait : 1) retiré la Très Sainte Trinité qui est invoquée dans la bénédiction, en sorte qu'il n’offenserait pas l’infidèle ; et 2) il avait donné une bénédiction à un membre d'une fausse religion. Ceci est contraire à l'enseignement scriptural qui interdit de donner la bénédiction aux infidèles, comme le répétait le pape Pie XI.
Le 18 juillet 1959, Jean XXIII supprima la prière suivante: « Vous êtes le roi de tous ceux qui sont encore enveloppés dans les ténèbres de l’idolâtrie et de l’islam... » [42] Dans son bref apostolique du 17 octobre 1925, le pape Pie XI avait ordonnée que cette prière fût récitée publiquement lors de la fête du Christ Roi. [43] Jean XXIII retira du calendrier des saints les quatorze saints auxiliaires et quantité d’autres saints, y compris sainte Philomène.
Sous le pape Grégoire XVI, la Sacrée Congrégation des Rites avait rendu une décision favorable en faveur de la vénération de sainte Philomène. En outre, le pape Grégoire XVI donna à sainte Philomène les titres de : « grande Thaumaturge du 19e siècle » et « patronne du Rosaire vivant » [44] Elle fut canonisée par le même pape en 1837. Une canonisation d'un saint est « une déclaration publique et officielle de la vertu héroïque d'une personne et l'inclusion de son nom dans le canon (registre) des saints... Ce jugement de l'Église est infaillible et irréformable. » [45]
Jean XXIII déclara : « Celui qui crie a tort ! On doit toujours respecter la dignité de celui qu’on a devant soi, et surtout la liberté de chaque individu. » [46]
Ci-dessous, une photo de Jean XXIII qui rencontre un schismatique oriental lors de Vatican II. Jean XXIII voulait que le clergé des Églises orthodoxes de Russie (beaucoup d’entre eux étaient des agents du KGB) participe à Vatican II. Les « orthodoxes » disaient que certains parmi leur clergé assisteraient à condition qu’il n’y ait pas de condamnation du communisme à Vatican II. Ainsi, Jean XXIII — l’initiateur de l’apostasie Vatican II — négocia la « grande affaire » que fut l’Accord Vatican-Moscou. Le Vatican accepta donc de ne pas condamner le communisme lors de Vatican II afin que les orthodoxes schismatiques puissent assister aux cérémonies ! [47] C’est ce qu’on appelle une bonne affaire, n’est-ce pas ? Jean XXIII était clairement franc-maçon et probablement communiste ; il est l’homme qui débuta la conspiration massive et l’apostasie qu’est la secte Vatican II.
En voyant où s’assiéraient les observateurs non-catholiques à Vatican II, Jean XXIII déclara : « Ça ne va pas le faire ! Placez nos frères séparés près de moi. » Comme l’a dit un anglican heureux : « Alors voilà où nous étions, là, au premier rang. » [48]
Le 11 octobre 1962, Jean XXIII prononça son discours d'ouverture du Concile :
Comme nous le voyons ci-dessus, dans son discours d'ouverture de Vatican II, Jean XXIII déclarait qu’historiquement l'Église opposait et condamnait les erreurs, mais qu’aujourd’hui elle n’allait plus les condamner. Il avait aussi prononcé l’hérésie que l’ « unité visible dans la vérité n'a malheureusement pas encore été atteinte pleinement et dans sa perfection par la totalité de la famille chrétienne. » Tout d'abord, « la totalité de la famille chrétienne » est uniquement composée de catholiques. Dire que « la totalité de la famille chrétienne » inclut les non-catholiques, comme le dit Jean XXIII, est une hérésie. Deuxièmement, Jean XXIII disait que la famille chrétienne (qui est l’Église catholique) n’a pas encore pleinement atteint « cette unité visible dans la vérité. » C’est hérésie. C’est un rejet de la véritable Église du Christ, l’Église catholique. La véritable Église (l’Église catholique) est une dans la foi. L’Église catholique a déjà atteint et gardera toujours l’ « unité visible dans la vérité. »
Jean XXIII changea également les rubriques du Bréviaire et du Missel. Il ordonna la suppression des prières léonines, les prières prescrites par le pape Léon XIII pour être récitées après la Messe. Ces prières furent également prescrites par le pape saint Pie X et le pape Pie XI. [52] Cela incluait la prière à saint Michel Archange, une prière qui fait spécifiquement mention du combat que mène l’Église contre le Diable. Jean XXIII retira aussi de la messe le psaume Judica me. Jean XXIII supprima par la suite le Dernier Évangile, l’Évangile de saint Jean. Cet Évangile est aussi utilisé dans les exorcismes. [53]
Ensuite, Jean XXIII élimina de la Messe le second Confiteor. C’est seulement après tous ces changements qu’il introduisit un changement dans le canon de la Messe, en insérant le nom de saint Joseph. [54] La requête consistant à vouloir insérer le nom de saint Joseph dans le canon avait officiellement été rejetée par le pape Pie VII le 16 septembre 1815, [55] et par le pape Léon XIII le 15 août 1892. [56] Les autres changements majeurs concernant le saint Sacrifice de la Messe (qui précédaient la Messe totalement nouvelle de Paul VI en 1969) entrèrent en vigueur le premier dimanche de l'Avent 1964.
Jean XXIII sur le socialisme et le communisme
Jean XXIII avait écrit une lettre faisant l'éloge de Marc Sangnier, le fondateur du Sillon. Le Sillon était une organisation qui avait été condamnée par le pape Pie X. Jean XXIII avait écrit au sujet de Sangnier : « La puissante fascination de ses paroles (de Sangnier), de son âme, m’ont ravi, et les souvenirs les plus animés de toute ma jeunesse sacerdotale sont pour sa personne et son activité politique et sociale... » [57]
Dans son encyclique Mater et Magistra (sur le christianisme et le progrès social), Jean XXIII promouvait les idéaux socialistes et ne condamnait pas une seule fois la contraception ou le communisme. Interrogé sur la raison pour laquelle il allait répondre à la salutation d'un dictateur communiste, Jean XXIII répondit : « Je suis Pape Jean, non par un quelconque mérite personnel, mais par un acte de Dieu, et Dieu est en chacun d’entre nous. » [58] Jean XXIII s’entretint avec des communistes, « comme si c’étaient ses frères. » [59] Le communisme a été condamné 35 fois par le pape Pie XI et 123 fois par le pape Pie XII. [60]
Le 6 mars 1963, Jean XXIII reçut Alexei Adjoubeï et son épouse, Rada, lors d’une audience spéciale. Rada était la fille de Khrouchtchev, le Premier ministre de l'URSS. Rada (la fille de Khrouchtchev) parlait ainsi de sa rencontre avec Jean XXIII : « ... il nous remit des cadeaux symboliques à Alexei et à moi, et un également destiné à mon père en disant : et ça c’est pour votre papa. » [61]
À l'occasion de son quatre-vingtième anniversaire (25 nov. 1961), Jean XXIII avait reçu un télégramme de Khrouchtchev lui faisant part de ses « félicitations et de ses vœux sincères de bonne santé et de prospérité dans ses nobles aspirations contribuant à... la paix sur terre. » [62]
Le 21 avril 1963, le secrétaire général du Parti communiste britannique, John Gollan, devant les caméras de télévision, dit que « l’encyclique (Pacem in Terris) [de Jean XXIII] l'avait surpris et réjoui » et qu’il avait, par conséquent, exprimé « sa plus sincère satisfaction au récent 28e Congrès du Parti. » [63]
L'un des bons amis de Jean XXIII était le communiste Giacomo Manzu, lauréat du prix Lénine pour la paix. [64] Jean XXIII avait dit : « Je ne vois pas pourquoi un chrétien ne pourrait pas voter pour un marxiste s'il trouve que ce dernier soit plus apte à suivre une telle ligne politique et destinée historique. » [65]
L'Église catholique a condamné le communisme à plus de 200 occasions. [66]
Jean XXIII loué par des franc-maçons et des communistes durant son « pontificat »
C’est hérésie. Ce n’est pas le droit de chacun d’honorer de faux dieux en public. Ce fut condamné par beaucoup de papes, comme nous l’avons vu dans le chapitre sur Vatican II. Quand le théologien du Saint Office, le Père Ciappi, dit à Jean XXIII que son encyclique Pacem in Terris contredisait l’enseignement des papes Grégoire XVI et Pie IX sur la liberté religieuse, Jean XXIII répondit : « Je ne serai pas offensé par quelques taches du moment que la plus grande partie brille. » [68]
L’encyclique Pacem in Terris de Jean XXIII a été louée comme un document maçonnique par des chefs maçonniques en personne. Voici quelques exemples :
Cette citation provient du Masonic Bulletin, l’organe officiel du Conseil Suprême du 33e degré du Rite Écossais Ancien et Accepté, pour le District maçonnique des États-Unis de Mexico, situé au n°56 de la rue Lucerna à Mexico, D.F. (Année 18, n° 220, mai 1963) :
Dans le livre Résurgence du Temple, publié et édité par les Chevaliers Templiers (des franc-maçons), 1975:149, la citation suivante est d’intérêt : « La direction de notre action : Continuation de l’œuvre de Jean XXIII et de tous ceux qui l’ont suivi sur la voie de l’universalisme templier. » [70]
JEAN XXIII ET LES JUIFS
Jean XXIII faisait aussi ce genre de choses : arrêter sa voiture pour bénir des juifs sortant de leur culte du « Sabbath. » [71]
Jean XXIII a-t-il révélé être juif ?
Jean XXIII salua une fois des visiteurs juifs en ces termes : « Je suis Joseph, votre frère ! » [72] Même si cette mystérieuse déclaration de Jean XXIII a été fréquemment citée, sa signification n'a pas encore été expliquée. Nous croyons qu’il y a une bonne explication de sa signification : Cette déclaration de Jean XXIII, « Je suis Joseph votre frère, » est une citation de Genèse 45:4. Elle fut faite par le patriarche Joseph, le fils de Jacob, à ses frères quand ceux-ci entrèrent en Égypte durant la période de famine. Ceux qui sont familiers avec le récit biblique savent que Joseph avait été vendu en esclavage par ses frères plusieurs années auparavant, mais s’était élevé à la plus haute position dans le royaume d’Égypte (bien qu’il ne fût pas l’un d’entre eux) parce qu’il avait réussi à interpréter le rêve du pharaon. S’étant élevé à la plus haute position dans le royaume des égyptiens, il était libre de distribuer les trésors du royaume à son gré — p. ex. à ses frères. Il donna abondamment et sans frais à ses frères.
Quand on voit les preuves que Jean XXIII était un franc-maçon, que Jean XXIII avait entamé à Vatican II le processus révolutionnaire contre l’Église catholique, et que le « pontificat » de Jean XXIII initia la nouvelle attitude révolutionnaire envers les juifs, entre autres choses, la signification de sa déclaration aux juifs devient claire. Tout comme Joseph, qui n’était pas égyptien, s’était retrouvé établi au point culminant de la hiérarchie égyptienne, et qu’il le révéla à ses frères par la déclaration « Je suis Joseph, votre frère, » Jean XXIII avait dit aux juifs qu’il était « Joseph votre frère » parce que c’était en réalité un infiltré juif retranché dans la plus haute position hiérarchique des chrétiens (en tout cas, ça y ressemble). C'était la façon déguisée de Jean XXIII de révéler ce qu'il était vraiment : un antipape conspirateur au service des ennemis de l'Église.
Juste avant sa mort, Jean XXIII composa la prière suivante pour les juifs (cette prière fut confirmée par le Vatican comme étant l'œuvre de Jean XXIII) : [73]
Jean XXIII dit que les juifs sont toujours le peuple élu, ce qui est hérétique. « Juifs perfides » étaient les termes par lesquels la liturgie catholique du Vendredi saint désignait les juifs jusqu’à ce que Jean XXIII les retirât en 1960. [75] Le mot “perfide” signifie « infidèle. » « Le Vendredi saint de 1963, le cardinal qui célébrait la messe à saint Pierre prononça par habitude les anciennes paroles, “Juifs perfides.” Jean XXIII stupéfia les fidèles en l’interrompant dans son élan, disant, “Dites-le de la nouvelle manière.” » [76]
À un garçon juif récemment baptisé, Jean XXIII avait dit : « En devenant catholique tu ne restes pas moins juif. » [78] Dans la nuit de la mort de Jean XXIII, le Chef Rabbin de Rome et d’autres chefs de la communauté juive, s’étaient rassemblés, accompagnés de centaines de milliers de gens, pour se lamenter sur la place saint Pierre. [79]
Alden Hatch, auteur de A man named John : The Life of John XXIII, déclara au sujet de Jean XXIII : « ... sûrement aucun (parmi les papes précédents) n'avait touché à ce point les cœurs des gens de toutes fois — et ceux sans aucune foi. Car ceux-là savaient qu'il les aimait, peu importe qui ils étaient ou ce qu'ils croyaient. » [80]
LA MORT DE JEAN XXIII
Après sa mort, le Vatican envoya Gennar Goglia qui, avec ses collègues, embauma Jean XXIII. Goglia injecta dix litres de fluide d'embaumement dans le poignet et l'estomac de Jean XXIII pour neutraliser toute putréfaction. [81] Voilà pourquoi le corps de Jean XXIII ne se décomposa pas comme les corps normaux. En janvier 2001, le corps de Jean XXIII fut exhumé et placé dans un nouveau cercueil pare-balles en cristal, désormais exposé dans la basilique Saint-Pierre. Le visage et les mains de Jean XXIII avaient également été recouverts de cire. [82]
Déclarations de franc-maçons, de communistes et de non-catholiques, louant Jean XXIII après sa mort
Après la mort de Jean XXIII, quantité de documents provenant de communistes, de franc-maçons et de juifs furent envoyés au Vatican, exprimant leur chagrin pour la mort de Jean XXIII. Des gens comme « Fidel Castro et Nikita Khrouchtchev avaient envoyé des messages de louange et de tristesse. » [83]
Du El informador ; 4 juin 1963 :
Charles Ryandey, un souverain Grand Maître de sociétés secrètes, dans sa préface d’un livre d’Yves Marsaudon (ministre d’état du Conseil Suprême des sociétés secrètes françaises), déclara :
Une seconde préface du livre avait été adressée à « son auguste continuateur, Sa Sainteté le Pape Paul VI. » [86]
Le franc-maçon haut-gradé Carl Jacob Burckhardt, avait écrit dans Le Journal de Genève : « Je connais très bien le cardinal Roncalli. C’était un déiste et un rationaliste dont la force ne résidait pas dans l’habilité de croire aux miracles et de vénérer le sacré. » [87]
UN HÉRÉTIQUE NE PEUT PAS ÊTRE UN PAPE VALIDE
Comme nous l’avons déjà vu, l’Église catholique enseigne qu'un hérétique ne peut pas être un pape validement élu, puisqu’un hérétique n'est pas un membre de l'Église catholique. Les faits présentés ici prouvent que Jean XXIII, l'homme qui convoqua Vatican II et fit débuter l'Église conciliaire apostate, était clairement hérétique. Il n'était pas un pape valide. Angelo Roncalli (Jean XXIII) était un non-catholique, un antipape conspirateur qui débuta l'apostasie Vatican II.
Les stupéfiants parallèles entre l’antipape Jean XXIII du Grand Schisme d’Occident et l’antipape Jean XXIII de Vatican II
Le nom « Jean » fut évité par les papes pendant cinq cent ans parce que le dernier homme à l’avoir porté était l’antipape notoire Jean XXIII (Baldassare Cossa) du Grand Schisme d’Occident. Les parallèles entre le premier antipape Jean XXIII (Baldassare Cossa) et le second (Angelo Roncalli) sont frappants :
Le règne du premier antipape Jean XXIII s’étala sur cinq ans, de 1410 à 1415, tout comme le règne du récent antipape Jean XXIII, qui s’étala sur cinq ans, de 1958 à 1963.
Le premier antipape Jean XXIII convoqua un faux concile, le concile de Constance. (Le concile de Constance devint plus tard un véritable concile œcuménique, avec certaines sessions approuvées par le vrai pape ; mais à l’époque où l’antipape Jean XXIII l’ouvrit, c’était un faux concile.)
De même, le récent antipape Jean XXIII (Angelo Roncalli) convoqua aussi un faux concile, le concile Vatican II !
Le premier antipape Jean XXIII ouvrit son faux concile à Constance en la 4e année de son règne, en 1414. Le récent antipape Jean XXIII ouvrit Vatican II en la 4e année de son règne, en 1962.
Le règne du premier antipape Jean XXIII se termina peu avant la 3e session de son faux concile, en 1415. Le récent antipape Jean XXIII mourut peu avant la 3e session de Vatican II, en 1963, terminant ainsi son règne.
Nous croyons que les similitudes entre le premier antipape Jean XXIII et le second ne sont pas de simples coïncidences. Le premier antipape Jean XXIII fut aussi le dernier antipape à régner depuis Rome. Est-ce qu’Angelo Roncalli, le récent antipape Jean XXIII, en prenant ce nom, indiquait symboliquement (de façon déguisée, comme le font les franc-maçons) qu’il continuait la lignée des antipapes à régner depuis Rome ?
Le cardinal Heenan, présent au conclave de 1958 qui nous a donné Jean XXIII, mentionna une fois :
« Il n'y avait pas de grand mystère au sujet de l’élection du pape Jean. Il fut choisi parce qu'il était un très vieil homme. Sa principale tâche était de faire de Mgr Montini (plus tard Paul VI), l’archevêque de Milan, un cardinal, pour qu'il puisse être élu au prochain conclave. C’était sa politique, et elle fut menée avec précision. » [88]
Notes :
[1] Yves Marsaudon , L’Œcuménisme vu par un franc-maçon de tradition, Paris, Vitiano, cit. Dr. Rama Coomaraswamy, The Destruction of the Christian Tradition, p. 247.
[2] Lawrence Elliott, I will be called John, 1973, pp. 90-92.
[3] Luigi Accattoli, Quand le pape demande pardon, Albin Michel, Paris, 1997, p. 41.
[4] Alden Hatch, A Man Named John, Hawthorn Books Inc., NY, 1963, p. 93.
[5] A Man Named John, p. 94.
[6] A Man Named John, p. 96.
[7] A Man Named John, p. 98.
[8] St. Anthony’s Messenger, nov. 1996.
[9] A Man Named John, p. 117.
[10] A Man Named John, p. 118.
[11] Paul I. Murphy, R. René Arlington, La Popessa, 1983, pp. 332-333.
[12] Mary Ball Martinez, The Undermining of the Catholic Church, Hillmac, Mexico, 1999, p. 117.
[13] Giovanni Cubeddu, 30 Days, publication n° 2, 1994, p. 25.
[14] Kurt Klinger, Le bon sourire du Pape Jean, Anecdotes recueillies, Albin Michel, Paris, 1963, pp. 101-102.
[15] A Man Named John, p. 121.
[16] A Man Named John, p. 123.
[17] Le bon sourire du Pape Jean, p. 111.
[18] Rev. Francis Murphy, John XXIII Comes To The Vatican, 1959, p. 139.
[19] A Man Named John, p. 114.
[20] A Man Named John, p. 125.
[21] Le bon sourire du Pape Jean, p. 116.
[22] Mark Fellows, Fatima in Twilight, Niagara Falls, NY : Marmion Publications, 2003, p. 159.
[23] Le bon sourire du Pape Jean, p. 118.
[24] Claudia Carlen, The Papal Encyclicals, The Pierian Press, Raleigh , 1990, Vol. 4 (1903-1939), p. 434, n° 120.
[25] Peter Hebblethwaite, Jean XXIII le pape du Concile, Le Centurion, Paris, 1988, p. 271.
[26] Paul Johnson, Pope John XXIII, pp. 37, 114-115, 130.
[27] Le bon sourire du Pape Jean, pp. 27-28.
[28] Time Magazine, « 1962 Man of the Year: Pope John XXIII », éd. du 4 jan. 1963.
[29] Le bon sourire du Pape Jean, p. 54.
[30] Romano Amerio, Iota Unum, Angelus Press, 1998, p. 241.
[31] Le bon sourire du Pape Jean, p. 149.
[32] Le bon sourire du Pape Jean, p. 124.
[33] A Man Named John, p. 192.
[34] A Man Named John, p. 192.
[35] A Man Named John, p. 194.
[36] Quand le pape demande pardon, p. 42.
[37] Peter Hünermann, Heinrich Denzinger, Enchiridion Symbolorum, Symboles et définitions de la Foi catholique, 38e éd., Éd. française, Éditions du Cerf, Paris, 2010, n° 1332.
[38] Time Magazine, « 1962 Man of the Year: Pope John XXIII, » éd. 4 jan. 1963.
[39] Allegri, Il Papa che ha cambiato il mondo, Reverdito, 1998, p. 120.
Sacerdotium, éd. 11, 2899 East Big Beaver Rd., Suite 308, Troy, MI., p. 58.
[40] A Man Named John, p. 193.
[41] Pie XI, Lettre encyclique Mortalium Animos contre l’œcuménisme, Association Saint-Jérôme, Bruxelles, 1987, p. 23.
[42] Quand le pape demande pardon, p. 43.
[43] P. F.X. Lasance, My Prayer Book, éd. 1938, p. 520a.
[44] P. Paul O'Sullivan, O.P., Saint Philomena, The Wonder Worker, Tan Books, Rockford, IL, 1993, pp. 69-70.
[45] Donald Attwater, A Catholic Dictionary, Tan Books, 1997, p. 72.
[46] Le bon sourire du Pape Jean, p. 150.
[47] Mark Fellows, Fatima in Twilight, Marmion Publications, Niagra Falls, NY 2003, p. 180.
[48] A Man Named John, NY, p. 14.
[49] Internet, Marion Duchêne, Radio Notre-Dame, Discours de Jean XXIII pour l’ouverture du Concile Vatican II, 8 oct. 2012.
http://radionotredame.net/2012/vie-de-lÉglise/discours-de-s-s-jean-xxiii-a-loccasion-de-louverture-solennelle-du-concile-oecumenique-vatican-ii/
Site Vatican ve. anglais, John XXIII, Speeches, Address on the occasion of the solemn opening of the Most Holy Council, 11 oct. 1962, ve. italien, 4.2- 4.4, 7.1-7.2, 8.2.
http://www.vatican.va/holy_father/john_xxiii/speeches/1962/documents/hf_j-xxiii_spe_19621011_opening-council_it.html
[50] Léon XIII, Lettres apostoliques de S.S. Léon XIII, encycliques, brefs, etc. (Éd.1893), Hachette livre / BnF, Paris, 1893-1904, T. 5, p.11.
[51] Lettres apostoliques de S.S. Léon XIII, T. 5, p.13.
[52] The Reign of Mary, Spokane, WA., Printemps 1986, p. 10.
[53] The Reign of Mary, Vol. XXIX, n° 93, p. 16.
[54] The Reign of Mary, Vol. XXIX, n° 93, p. 16.
[55] The Reign of Mary, Vol. XXII, n° 64, p. 8.
[56] The Reign of Mary, Printemps 1986, pp. 9-10.
[57] Angelo Giuseppe Roncalli, Jean XXIII, Mission to France, 1944-1953, pp. 124-125.
[58] The Reign of Mary, Printemps 1986, p. 9.
[59] Le bon sourire du Pape Jean, p. 64.
[60] Piers Compton, The Broken Cross, Veritas Pub. Co. Ptd Ltd, Cranbrook, Western Australia, 1984, p. 45.
[61] Le bon sourire du Pape Jean, p. 27.
[62] Mark Fellows, Fatima in Twilight, p. 177
The Broken Cross, p. 44.
[63] P. Joaquin Arriaga, The New Montinian Church, Brea, CA., p. 170
[64] Curtis Bill Pepper, An Artist and the Pope, Grosset & Dunlap, Inc., Londres, Angleterre, Page de couverture et intérieur de la housse de couverture du livre ; p. 5.
[65] The New Montinian Church, p. 570.
[66] Michael Davies, Pope John’s Council : Angelus Press, Kansas City, MO, 1992, p. 150.
[67] Site Vatican, Jean XXIII, Encycliques, Pacem in Terris,11 avril 1963, ve. français, n° 14.
http://www.vatican.va/holy_father/john_xxiii/encyclicals/documents/hf_j-xxiii_enc_11041963_pacem_fr.html
Jean XXIII, La paix sur terre, Pacem in Terris, Éditions du Centurion, Paris, 1963, p. 42.
[68] Catholic Restoration, mars-avr. 1992, Madison Heights, MI, p. 29.
[69] The New Montinian Church, pp. 147-148.
[70] A.D.O. Datus, Ab Initio, p. 60.
[71] George Weigel, Witness to Hope, Harper Collins Publishers, Inc., New York, NY, 1999, p. 484.
[72] Bart McDowell, Inside the Vatican, National Geographic Society, Washington D.C, 1991, p. 193.
Time Magazine, 4 janv. 1963.
Cit. Conférence des évêques catholiques des États-Unis, The Bible, The Jews and the Death of Jesus, Bishops’ Committee for Ecumenical and Interreligious Affairs, 2004, p. 59.
[73] The Reign of Mary, John XXIII and the Jews, printemps 1986, p. 11.
[74] B'nai B'rith Messenger, Vendredi 4 nov. 1964.
[75] Quand le pape demande pardon, p. 38.
[76] A Man Named John, p. 192.
[77] Claudia Carlen, The Papal Encyclicals, The Pierian Press, Raleigh , 1990, Vol. 1 (1740-1878), pp. 41-42.
[78] Catholic Restoration, Madison Heights, MI, mai-juin 1993, p. 24.
[79] Darcy O' Brien, The Hidden Pope, Daybreak Books, New York, NY, 1998, p. 10.
[80] A Man Named John, après p. 238 (1ère page d’encart).
[81] Wendy Reardon, The Deaths of the Popes, McFarland & Co. Inc., Jefferson, NC., 2004, p. 244.
[82] The Deaths of the Popes, p. 244.
[83] A Man Named John, après p. 238 (encart, p. 7).
[84] The New Montinian Church, p. 147
[85] The Broken Cross, p. 50.
[86] The Broken Cross, p. 50.
[87] Ab Initio, p. 60.
[88] Biographie du Cardinal Heenan, Crown of Thorns.
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praise be the Lord Jesus Christ, all honor and glory be to His holy mother,Mary.
plaquemine 7 moisLire plus...Absolument De plus il est écrit beaucoup chercheront à entrer qui ne le pourront pas’
Derriey 7 moisLire plus...GLOIRE A DIEU METTONS NOUS A LA DISPOSITION DE JESUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR. AGISSONS, obéissons lui. Combattons sous ses ordres avec obéissance. Amen
MICHEL 8 moisLire plus...Nous réfutons votre objection dans notre livre, Hors de l'Église catholique il n'y a absolument pas de salut : https://vaticancatholique.com/catechisme-saint-pie-x-bapteme-de-desir/
Monastère de la Très Sainte Famille 9 moisLire plus...bonjour vous dites un peu partout sur votre site que le dogme du baptême de désir n'est pas catholique, pourtant il est dans le catéchisme de Saint Pie X
TD 9 moisLire plus...Magnifique ! Merci !
Émilie 10 moisLire plus...Merci infiniment de mettre ce calendrier Liturgique à disposition ! Un bon repère, même pour ceux qui, hélas, n'ont pas la possibilité de participer à la Liturgie traditionnelle... Merci également...
smsc 12 moisLire plus...Bonjour, et merci ! C'est une immonde imposture, ils recevront le digne salaire de leurs œuvres les enfants de Belial qui ont fait cela !
Frédéric 1 anLire plus...bien dit, les MHFM, je suis entièrement d'accord avec vous.
Marcel 1 anLire plus...Merci infiniment pour votre investigation, j'ai aussi eu la même sensation, que cette Sœur Lucie n'était pas la vraie, et cette grande différence en regardant les photos, il faut être...
Rose 1 anLire plus...