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L’Antéchrist révélé : la Bête qui était et n’est plus, est revenue
Dans Apocalypse 17: 6, lorsque saint Jean décrit sa vision au sujet de la prostituée de Babylone, la femme assise sur la ville aux sept collines, vêtue de pourpre et d'écarlate, il dit ceci: « Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement. (Apo. 17:6). »
Le mot en grec utilisé par saint Jean pour exprimer son étonnement, vient du verbe thaumazo, qui signifie être étonné, s’émerveiller, admirer . Dans le chapitre 13 de l’Apocalypse, lorsque saint Jean décrit la bête montant de la mer ainsi que l'Antéchrist, c’est-à-dire la tête ou le roi de la bête qui est blessée et dont l’image est par la suite vénérée, il utilise le même verbe. Apocalypse 13: 3 , citation :
Saint Jean utilise le même verbe pour décrire son étonnement pour la Prostituée de Babylone et l’admiration du monde entier pour l’Antéchrist — l’Antéchrist étant la tête ou le roi de la bête qui fut blessée et dont l’image est ensuite vénérée. Y a-t-il une raison ? Oui. saint Jean utilise le même verbe pour décrire son étonnement pour les deux ; parce que la bête et la prostituée de Babylone font partie de la même et unique entité. Admirer l’une, c’est admirer l’autre.
En effet, immédiatement après que saint Jean soit saisi d’un grand étonnement pour la Prostituée de Babylone, dans le verset qui suit juste après, nous lisons ceci: « Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. » (Apo. 17:7)
Prenez note, quand l’ange explique le mystère de la Prostituée, il explique dans le même temps le mystère de la bête. Une explication identique couvre la femme et la bête à sept têtes parce que la bête porte la femme. La femme s’assoit sur la bête. La femme et la bête font partie du même mystère parce que les deux font partie de la même entité, comme nous l’avons expliqué dans notre vidéo Le Monde arrive-t-il à sa Fin ?, et comme ce sera démontré plus loin dans cette vidéo.
La signification de tout ceci est que si vous avez identifié la Prostituée de Babylone, alors vous avez identifié la bête à sept têtes — montant de la mer ; ainsi que l’Antéchrist — la tête de la bête qui est blessée. Vous ne pouvez pas dire que la tromperie de la Prostituée de Babylone se réalise en un siècle, une période ou en un lieu définis, mais que la tromperie de l’Antéchrist et de la bête montant de la mer surviennent en un différent siècle, une différente période ou en un lieu différents. Non, si l’une est ici, alors l’autre se doit d’y être présente, car la prostituée est assise sur la bête. De même, vous ne pouvez pas dire que la Prostituée de Babylone est une tromperie religieuse qui surgit à Rome, sans dire aussi que la tromperie de l’Antéchrist ainsi que celle de la bête montant de la mer est intimement liée avec ce qui se produit à Rome avec la Prostituée. Si vous avez identifié la tromperie de l’une, alors vous avez identifié la tromperie de l’autre, aussi bien sa localisation que son époque, parce que la Prostituée de Babylone est assise sur la bête montant de la mer.
Alors, qu’est-ce que la Prostituée de Babylone ? Ce n’est pas l’Église catholique, comme le disent à tort les protestants. Comme le montrent les points que nous venons à l’instant de couvrir, celui qui pense que l’Église catholique est la Prostituée de Babylone doit dire que la tromperie de l’Antéchrist était en cours durant toute l’histoire catholique, parce que l’explication de la Prostituée est l’explication de la bête... et la prostituée est assise sur la bête. Mais c’est faux, bien sûr. La Prostituée de Babylone n’est pas l’Église catholique. L’Église catholique est l’unique et vraie Église fondée par Jésus-Christ. En revanche, la Prostituée de Babylone est l’Église catholique contrefaite de la Fin des temps, comme le montre en détail notre vidéo Le Monde arrive-t-il à sa Fin ?.
La Prostituée de Babylone est la fausse épouse, la contre-Église qui surgit dans les derniers jours ; alors que la cité aux sept collines, la cité de Rome (et non pas l’Église catholique en elle-même) est envahie, prise par des antipapes, et tombe dans l’apostasie de la vraie foi catholique. Comme le prophétisa Notre-Dame de La Salette le 19 septembre 1846 : “Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist. L’Église sera éclipsée”. Ainsi, la Prostituée est revêtue des couleurs de l’épouse mais elle n’est pas l’épouse. La Prostituée de Babylone est la secte Vatican II qui occupe présentement Rome, et qui conduit les gens dans l’apostasie de la foi catholique. L’apostasie et la fornication spirituelle de la Prostituée ont conduit presque tout le monde à l’égarement. Cette prostituée a en effet réduit la véritable Église catholique à un reste de fidèles dans les derniers jours, tout comme le prophétisa Jésus à propos de la fin des temps, dans Luc 18 :8.
La Prostituée de Babylone, la contre-Église installée à Rome, est assise sur la bête montant de la mer parce que la bête montant de la mer est une nouvelle version de l’Empire romain paganisé. Cette nouvelle version de l’Empire romain paganisé se manifeste politiquement à travers l’Union européenne ; et se manifeste spirituellement ou religieusement à travers la secte Vatican II. L’apostasie par Rome de la foi catholique, permise et conduite par les rois de la Cité-État du Vatican à Rome, a été le facteur principal expliquant pourquoi cette nouvelle version de l’Empire romain paganisé, ait été capable de prendre forme en Europe. Rome est donc la capitale spirituelle de la bête montant de la mer. Ce qui s’est passé à Rome donne la raison de la formation de la bête montant de la mer. Voilà pourquoi la Prostituée est assise sur la bête, et que l’explication de la Prostituée fait partie de l’explication de la bête. Le fait que la prophétie de saint Jean concerne la formation dans les derniers jours de la nouvelle version de l’Empire romain paganisé, en conséquence de l’apostasie du Christ par l’Europe, c’est précisément la raison pour laquelle la description de la femme assise sur la bête, faite par saint Jean, s’imbrique parfaitement avec l’image de la femme Europe dans la mythologie grecque. La prophétie de saint Jean concerne Europe dans les derniers jours, dans ses dimensions politico-religieuses.
Le fait que la bête de la Fin des Temps — montant de la mer — décrite dans les chapitres 13 et 17 de l’Apocalypse, soit une nouvelle version de l’Empire romain paganisé, c’est précisément la raison pour laquelle Apocalypse 17:8 dit que la bête montant de la mer est une bête qui était et n’est plus. Dans les Écritures, les bêtes montant de la mer sont des empires qui surgissent sur la Mer Méditerranée. Nous le savons de par les prophéties de Daniel. L’empire romain paganisé était la bête sur la mer à l’époque de saint Jean. C’est la bête qui était ; celle qui persécutait les fidèles. Elle poussa beaucoup d’entre eux à renier la foi, embrasser l’idolâtrie, et adorer de faux dieux. Cela-dit, l’Empire romain paganisé fut remplacé par l’Europe chrétienne. Dès lors, la bête qui était cessa d’être. Ça signifie qu’avant que ne surgisse la bête de la fin des temps - montant de la mer, l’Empire romain paganisé (la bête qui était), n’est plus, parce que l’Europe chrétienne l’avait remplacée. Mais dans les derniers jours, l’Europe chrétienne apostasiera le Christ et retournera au paganisme, en conséquence de son alignement sur l’apostasie et la prostitution de la cité de Rome. Ceci résultera dans la résurgence d’un nouvel Empire romain paganisé en Europe, sur la mer Méditerranée. La bête qui était et qui n’est plus, doit revenir.
Voilà en quoi consiste la prophétie de saint Jean dans les chapitres 13 et 17 de l’Apocalypse. Elle s’est d’ailleurs accomplie sous nos yeux , comme nous le verrons incessamment. Cette vidéo ne couvrira pas les différentes facettes de la femme Europe, tant politiques que religieuses, remplissant les diverses prophéties au sujet de la bête montant de la mer ainsi que la Prostituée de Babylone assise dessus. [Pour tous les détails, regardez notre vidéo Le Monde arrive-t-il à sa Fin ?]. La vidéo que vous êtes en train de regarder se concentre sur ce qui pourrait être la caractéristique unique et de haute importance montrant que la femme Europe représente la nouvelle version de l’Empire romain paganisé et remplit les prophéties dans l’Apocalypse au sujet de la Bête.
Nous nous concentrerons sur l’imposition de l’idolâtrie et du culte de faux dieux par la bête. Quand ces faits seront traités, gardez en tête que, du point de vue de la foi, la facette la plus importante de l’empire romain paganisé — la bête qui était — fut son imposition de cérémonies d’où l’on intimait à des catholiques, souvent menacés de châtiments, de rendre culte à de faux dieux et de renier le premier Commandement de Dieu. Évidemment, plusieurs d’entre eux rejetèrent comme il se doit les exigences de l’Empire. Ceux-ci gardèrent la vraie foi du Christ en dépit des conséquences. Néanmoins, une multitude de gens abandonnèrent et acceptèrent l’idolâtrie et le culte des fausses divinités de Rome. Ce faisant, ils renièrent le premier Commandement et apostasièrent la foi du Christ. Gardez en tête que l’imposition de l’idolâtrie par l’Empire était souvent entremêlée avec l’exigence d’honorer le roi romain et son image. C’était une caractéristique clé de la bête qui était.
Et bien que les empereurs romains fussent à proprement parler des empereurs plutôt que des rois, ce furent en réalité des rois. Voyez par exemple Jean 19 :15, où Tibère César, l’empereur romain de l’époque, est référé comme un roi. C’est ici que nous lisons que les personnes qui avaient demandé la crucifixion du Christ s’étaient exclamé : “Nous n’avons pas d’autre roi que César.” Ainsi, l’honneur donné à l’empereur romain, ainsi qu’à son image, était un honneur donné au roi romain ; et l’Empire romain paganisé combinait souvent son imposition de l’idolâtrie et l’adoration de faux dieux, avec l’exigence d’honorer le roi romain et son image.
Comme nous le verrons, dans la nouvelle version de l’Empire romain paganisé, la femme Europe des temps modernes, la même chose s’est produite. La bête qui était, et n’est plus, est revenue.
Dans le chapitre 23 de Matthieu, Jésus dit la chose suivante :
Comme le montrera cette vidéo, le principe expliqué dans ce passage donne la clé pour comprendre le sens plein de la pseudo « canonisation » de Jean-Paul II, et comment celle-ci s’imbrique dans les prophéties de l’Apocalypse concernant la bête. En premier lieu, la pseudo « canonisation » de Jean-Paul II ne fut pas un acte valide de la papauté, parce que François, l’homme qui le canonisa soi-disant, n’est pas un vrai pape. Selon l’enseignement catholique, François est, tout comme les autres prétendants à la papauté après Vatican II, un antipape hérétique total, un non-catholique. Puisqu’il est hérétique et par le fait même hors de l’Église catholique, il est inéligible à la fonction papale. Notre matériel le prouve sans le moindre doute. Ainsi, au regard des vrais catholiques qui acceptent la papauté et tout l’enseignement catholique, la canonisation de Jean-Paul II n’a aucune validité. Consultez les informations de notre site internet pour les détails sur le sujet. Néanmoins, pour ces centaines de millions de personnes du monde entier, qui se disent catholiques, suivent la secte Vatican II et considèrent à tort François comme le pape, la pseudo-canonisation de Jean-Paul II est non seulement de la plus haute importance, mais est spirituellement fatale et apocalyptique. En voici la raison :
C’est un fait que pendant des décennies, Jean-Paul II promut le faux-œcuménisme et l’indifférentisme religieux. Le faux-œcuménisme et l’indifférentisme religieux sont condamnés par l’enseignement des saintes Écritures et de l’Église catholique. Voyez par exemple l’encyclique de 1928 du pape Pie XI, Mortalium Animos. Non seulement Jean-Paul II approuvait et promouvait complètement le faux-œcuménisme en plus de l’indifférentisme religieux, mais il facilita en fait, et organisa, le culte des idoles et d'autres faux-dieux. Jean-Paul II facilita et organisa le culte des idoles et des faux-dieux, en organisant des cérémonies de prières dans lesquels il invitait des pratiquants de diverses religions non-chrétiennes et païennes. Les Écritures enseignent que les dieux des religions non-chrétiennes et païennes ne sont pas de Dieu, mais de démons (Psa. 95:5 ; 1 Chr. 16:26 ; 1 Cor. 10:20). Et pourtant, Jean-Paul II invita et encouragea les partisans de ces religions à venir à Assise pour rendre culte à leur faux-dieux. Il leur donna même un endroit pour agir en ce sens. En effet, il transforma des églises catholiques en salles ou temples dédiés à l’adoration de faux-dieux. Les exemples les plus notoires de sa facilitation à l’idolâtrie, furent les journées mondiales de prière pour la paix à Assise. La première se déroula en 1986, et la seconde en 2002. Mais Jean-Paul II approuva et parraina d’autres cérémonies similaires. Il parraina les événements de Kyoto (1987), de Rome (1988), et de Varsovie (1989), juste pour en nommer quelques-uns. Pendant des décennies, aussi bien en paroles qu’en actions, Jean-Paul II encouragea les partisans de religions non-chrétiennes et païennes à persévérer dans leur fausse religion, leur faux-culte, et leur idolâtrie. En effet, Jean-Paul II enseignait officiellement, y compris dans des encycliques, que le culte envers d’autres dieux, se produisant dans les religions non-chrétiennes, est une bonne chose et procède de la puissance divine. Logiquement, ça signifie que celui qui détient une puissance divine dans l’univers, souhaite que les gens adorent d’autres dieux, et donc que les autres dieux sont véridiques.
En vérité, quand Jean-Paul II convoqua les événements d’Assise, il n’organisait pas un pique-nique d’où se réuniraient une poignée d’idolâtres. Il ne convoquait pas une session stratégique pour la paix mondiale, d’où se feraient voir une poignée d’idolâtres. Non, il convoqua une journée de Prière et d’adoration pour apporter la paix. La prière efficace, et l’adoration à la divine majesté, fut le point fondamental et l’objectif de cet événement. Considérez profondément tout ceci. Pour les prières et les adorations qui y seraient entendues, qui seraient efficaces, Jean-Paul II demanda des prières à d’autres dieux, combinées aux prières adressées au Dieu catholique. C’est une profession de foi que les prières aux autres dieux sont efficaces, et conséquemment, que ces dieux sont de vrais dieux. Les professions de foi peuvent se faire aussi bien par des actions que par des paroles.
Donc, en plus d’inviter au premier événement d’Assise des hérétiques de catégories diverses, Jean-Paul II invita les juifs et les musulmans à rejeter la Sainte Trinité et la divinité du Christ. Il y ramena également, entre autres, des bouddhistes, des hindous, des zoroastriens, des animistes africains — qui adoraient le Grand Pouce — des prêtres shintoïstes du Japon — qui adorent divers faux dieux — des jaïnistes, des païens natifs américains, et des partisans du bahaïsme. Les partisans du bahaïsme croient que Krishna, Bouddha et d’autres personnes similaires, étaient des messagers du Divin comme l’était Jésus. Au premier événement d’Assise, une statue de Bouddha fut placée de façon visible par tous sur l’autel de l’église Saint François.
Lors du deuxième événement d’Assise, en 2002, Jean-Paul II s’était arrangé à l’avance pour que chaque religion reçoive sa propre salle d’où elle pouvait adorer son pseudo-dieu ou ses dieux. Tous les crucifix avaient été retirés, et ceux qu’on ne pouvait pas retirer, furent recouverts. Les musulmans avaient demandé une salle donnant sur la Mecque, et Jean-Paul II leur en donna une. Les zoroastriens avaient besoin d’une salle avec fenêtre, afin que la fumée produite par les encens qu’ils brûlaient pour leur faux dieu puisse s’échapper — et on leur en donna une. Les juifs voulaient une salle qui n’avait jamais été bénie ; en d’autres termes, ils voulaient une salle qui n’avait jamais été bénie au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ; et Jean-Paul II leur en donna une. Les “religions traditionnelles africaines ” (qui incluaient des animistes et des adeptes du Voudou) avaient reçu une salle pour leur culte, culte qui comprenait la vénération de serpents et d’esprits de diverses sortes.
Dès lors, il est absolument vrai de dire — et aucune personne un tant soit peu honnête ne dirait le contraire — que Jean-Paul II était devenu le bâtisseur de petits temples pour et à faux dieux. C’est un fait. Il a construit des temples pour différents dieux qui sont adorés par les diverses religions présentes à Assise. Il leur donna un endroit d’où ils pussent rendre culte à ces dieux, et amena le culte de ces dieux à la face du monde entier.
De plus, à Assise II, Jean-Paul II s’était arrangé pour que les représentants de chaque fausse religion montent sur l’estrade afin d’y donner un sermon sur la paix mondiale et leur religion propre. En présence de Jean-Paul II, un grand-prêtre voudou était monté sur scène pour promouvoir le vaudouisme. Le représentant hindou avait déclaré que tout le monde est Dieu. Les représentants d’autres fausses religions avaient également pris la parole.
Ce que Jean-Paul II organisa à Assise I et II, fut répliqué par Benoît XVI lors d’Assise III.
De ce fait, il est absolument vrai de dire qu’en plus d’avoir été le bâtisseur de temples pour faux-dieux, Jean-Paul II fut un missionnaire de ces dieux. Il fut missionnaire de ces dieux parce qu’il donna une plateforme mondiale sur laquelle les partisans et adorateurs de ces dieux pouvaient apporter au monde entier le message et le culte de ces faux-dieux, avec une publicité et une reconnaissance qu’ils n’auraient sinon jamais eues.
Ceci dit, pour en comprendre toute la signification, au sens théologique et apocalyptique, à la lumière de la pseudo canonisation de Jean-Paul II — à la lumière du fait que celui-ci est maintenant considéré formellement comme un saint par des centaines de millions de personnes prétendant être catholiques — supposez un instant qu’il y ait une religion païenne adorant un faux dieu quelconque ; et supposez qu’au sein de cette religion païenne, il y ait un soi-disant ‘saint’ bien connu.
Ce saint ou ce héros dont il est question, est honoré par les partisans de cette religion païenne en raison du fait qu’il est connu pour avoir construit un temple à leur faux dieu. Ce pseudo saint est le célèbre bâtisseur du temple. Puisqu’il a bâti le temple dans lequel le dieu est adoré, honoré et servi, il a un caractère spécial pour les partisans de cette religion. Il est sanctifié par ces gens. Il est devenu saint parce qu’il a donné un endroit à leur dieu. Il a construit l’endroit d’où leur dieu est adoré et servi. Mais s’il est considéré comme un saint dans cette religion seulement pour avoir construit le temple dédié à leur dieu, alors qu’est-ce que ça implique nécessairement pour celui à qui le temple est dédié ? Ça signifie nécessairement que, tout comme le saint qui a construit le temple est saint et sanctifié, le dieu pour qui le temple fut créé est lui aussi saint — et d’une façon encore plus grande. On ne peut pas échapper au fait que l’un découle directement et logiquement de l’autre. Comme Jésus l’a enseigné:
Si celui qui a construit le temple est un « saint, » c’est seulement parce que le temple qu’il a construit est saint. C’est parfaitement logique. Et si le temple est saint, c’est uniquement parce que celui pour qui le temple a été construit est encore plus saint. Ainsi, si le constructeur du temple est un saint, c’est seulement parce que le dieu adoré dans le temple est un vrai dieu, ayant le pouvoir de sanctifier ou faire des saints chez ceux qui le servent ou l’adorent.
Vous voyez la signification de tout ceci ? Cela veut dire, nécessairement, que tout individu dans le monde entier qui accepte Jean-Paul II comme un saint, et connaît un minimum de choses sur sa vie, adore des faux dieux. On ne peut pas contourner la chose. Ces gens considèrent des faux dieux comme véridiques et saints, possédant la puissance de sanctifier ou de faire des saints chez ceux qui les servent. Ils considèrent également comme saints des temples païens d’où sont adorés de faux dieux. Il n’y a pas moyen d’échapper à cette conclusion. Elle découle directement de 1) la reconnaissance de Jean-Paul II comme “Sanctus,” et 2) le fait indiscutable que celui-ci a bâti des temples pour l’adoration de faux-dieux et a servi des faux-dieux.
Certains pourraient chercher réfutation, en disant ne pas approuver les activités de Jean-Paul II à Assise et avec les autres religions. Qu’ils dénoncent ces choses et n’acceptent Jean-Paul II comme saint que pour d’autres choses qu’il aurait faites. Ces personnes diraient ne pas croire qu’il a été sanctifié ou rendu saint quand celui-ci servait d’autres dieux, ou quand il avait construit leur temple, ou quand il présenta au monde entier leur culte, ou quand il demanda que ces dieux soient adorés à Assise, ou quand il enseigna que leurs religions sont le produit de l’œuvre divine.
Ces réfuteurs diraient plutôt que Jean-Paul II a été sanctifié quand il adorait le vrai Dieu de l’Église catholique. Mais cette réponse s’écroule lamentablement. Ceux qui sortiraient un tel argument seraient toujours impliqués dans l’idolâtrie, et renieraient le premier Commandement ; car dans ce cas ces individus déclarent que l’adoration véritable et sanctifiante du seul vrai Dieu, le genre d’adoration dont l’on a besoin pour devenir saint, n’exclut pas nécessairement le service rendu à d’autres dieux ou la construction de leurs temples.
Mais le tout premier commandement du seul vrai Dieu, le voici : Tu n’auras pas d’autres dieux que moi ; Tu n’auras point de dieux étrangers devant moi ; n’adore point de dieu étranger. Le Seigneur, son nom est : jaloux. (Exode 20, 34). Le premier commandement du seul vrai Dieu nous dit que l’adoration sanctifiante à Son égard — le genre d’adoration nécessaire pour devenir saint - exclut nécessairement, en tant que condition première et principale, le service d’autres dieux ainsi que la construction de leurs temples, etc. Par conséquent, celui qui professe que Jean-Paul II est un saint, professe une croyance en un soi-disant dieu qui n’exclut pas le service à d’autres dieux comme une exigence à la sanctification. Et ce n’est pas le vrai Dieu. La position de ces réfuteurs est donc idolâtre. Ils professent croire en un faux dieu parce que le seul vrai Dieu s’est identifié Lui-même comme celui qui exclue en premier lieu le service à d’autres dieux comme Sa condition pour la sanctification.
Ainsi, reconnaître formellement Jean-Paul II comme saint, ou l’appeler « saint » — tel que le fait actuellement le monde entier suivant la secte Vatican II — c’est professer que des faux dieux ont le pouvoir de sanctifier ceux qui les servent ou que le vrai « dieu » n’exclue pas le fait de servir d’autres dieux. On ne peut pas contourner la chose ; et pour cause: une telle position est idolâtre.
Voilà pourquoi l’honneur donné à l’image de Jean-Paul II est prophétisé dans le chapitre 13 de l’Apocalypse : la vénération de l’image du roi romain ou tête de la bête, qui est blessé, se rétablit, et trompe le monde, comme le traite en détail notre vidéo Le Monde arrive-t-il à sa Fin ?. La vénération de son image est une figure proéminente dans la prophétie à propos de la bête et de l’Antéchrist parce que la vénération de son image est précisément l’instrument et les moyens par lesquels le monde entier, suivant la secte Vatican II, s’est impliqué directement dans l’idolâtrie et l’adoration d’un ou de plusieurs faux dieux. C’est du jamais vu dans l’Histoire ; le fait que tant de gens professant être catholiques soient si rapidement et automatiquement impliqués dans l’idolâtrie et un rejet du premier Commandement.
Les ramifications de tout ceci sont ahurissantes. Voilà pourquoi depuis tant d’années, nous avons souligné que les gens ne doivent pas accepter les antipapes Vatican II comme de vrais papes, et pourquoi nous avons prouvé par A+B que ce ne sont pas de vrais papes. En effet, de multiples manières, notre travail démontre que les prétendants à la papauté post-Vatican II ne sont pas des papes valides (un fait qui devrait sembler évident à la lumière des activités de l’antipape François, compte-tenu de la période où nous nous trouvons ; ceux qui considèrent toujours à tort la secte Vatican II comme étant l’Église catholique, et ses chefs comme étant de vrais papes, sont dans une position spirituellement fatale. Il leur est exigé de vénérer Jean-Paul II comme un saint, ce qui revient à renier le premier Commandement et à adorer un faux dieu.
En effet, c’est précisément à travers la vénération donnée à Jean-Paul II et à son image que le Diable s’est trouvé en mesure d’attraper beaucoup de soi-disant conservateurs qui, sinon, n’auraient jamais participé à un événement comme Assise, ni embrasser le Coran ou accepter l’idolâtrie. En vénérant Jean-Paul II comme saint, ce qui est maintenant requis sous peine de péché mortel pour les partisans de la secte Vatican II, ces faux conservateurs sont impliqués dans Assise, embrassent le Coran, etc. Qu’ils aiment ou non ce fait…
En gardant cela à l’esprit, nous devrions être en mesure de voir très clairement en quoi la bête qui était et n’est plus, est revenue dans sa caractéristique la plus essentielle : à savoir, l’ imposition de l’idolatrie et l’adoration de faux dieux, et en quoi ce fut accompli par la vénération de l’image du roi romain. Et Jean-Paul II, en plus d’être un antipape, était réellement un roi romain, un monarque. Il était l’un des sept rois de la Cité-État du Vatican, une nouvelle monarchie ayant vu le jour à Rome en 1929 par le Traité de Latran, comme l’explique notre vidéo en français, Le Monde arrive-t-il à sa Fin ?, et la vidéo en anglais, François et les sept rois de l’Apocalypse.
Donc, tout comme la bête Empire romain paganisé impliqua une multitude de chrétiens dans l’idolâtrie et l’adoration de faux dieux, à travers la vénération donnée au roi romain et sa cérémonie qui lui est associée, la Bête de la Fin des Temps montant de la mer fait exactement pareil. Cependant, la version moderne de la Bête réussit à impliquer les gens du monde entier dans l’idolâtrie et un rejet du premier Commandement d’une façon encore plus diaboliquement efficace — à savoir, par la vénération formelle de Jean-Paul II, un homme qui servit de faux dieux dans la notoriété.
Afin de comprendre pus efficacement les horribles conséquences de cette situation, considérez l’exemple suivant.
Supposez qu’on dise à un jeune de 14-15 ans, professant être catholique, que Jean-Paul II est un saint. Ce jeune homme vénère le jour de fête de Jean-Paul II. Peu après, il se penche sur Jean-Paul II et découvre que Jean-Paul II invitait des adorateurs d’autres dieux à Assise pour que ceux-ci puissent rendre culte à leurs faux dieux au côté du Dieu catholique . Si ce jeune accepte Jean-Paul II comme saint à ce moment là, s’il ne connaît rien à propos des arguments prouvant que Jean-Paul II était un hérétique, pourquoi la Secte Vatican II n’est pas l’Église catholique, l’existence d’antipapes dans l’Histoire, que cette situation ait été prophétisée, etc., le jeune homme s’implique malgré tout dans l’idolâtrie. Il aura renié le premier Commandement en acceptant qu’on puisse devenir saint en servant d’autres dieux et en bâtissant leurs temples, ou qu’on puisse être sanctifié par « dieu » tout en servant d’autres dieux ; ce qui signifie que le dieu auquel il croit présentement n’est pas le seul vrai Dieu.
Aussi, cela ne fait aucune différence si le jeune en question, ou quiconque donnant le titre de saint à Jean-Paul II, ne se rend jamais dans un temple de faux-dieux, ne professe en aucun cas une croyance affichée en ces dieux. Ça ne fait aucune différence. En acceptant tout simplement Jean-Paul II comme un saint, la personne aura renié le premier Commandement en soutenant qu’une personne qui sert d’autres dieux puisse être sanctifiée.
Voilà pourquoi la vénération donnée à l’image de Jean-Paul II est prédite dans l’Apocalypse. Elle représente l’imposition universelle des ravages et de l’idolâtrie de la secte Vatican II, la Grande Prostituée, sur ces partisans, incluant les faux-conservateurs qui ne les auraient sinon jamais accepté ou béni.
Il est aussi important de noter que si le jeune homme susmentionné avait entendu qu’un quelconque soi-disant catholique, envers qui il n’a pas de respect particulier, s’organisait pour que les partisans de fausses religions prient ces dieux et présentent au monde entier le culte de ces dieux, dans ce cas le jeune homme serait enclin à remettre en question les activités de cet individu ou à le rejeter carrément comme vicié et faux-croyant. (C’est ce qu’il devrait faire, bien entendu). Mais le fait que le service à d’autres dieux soient désormais présentés au jeune homme comme étant l’activité conduite par Jean-Paul II — un homme que son « Église » dit être saint — apparaît de toute façon comme une puissante incitation à accepter Jean-Paul II comme saint, et ainsi accepter que celui qui sert d’autres dieux puisse être justifié. Voilà pourquoi c’est si dévastateur et significatif.
Cela signifie que tous ceux qui critiqueraient les événements d’Assise et l’indifférentisme religieux de Jean-Paul II, l’acceptent tout de même comme un saint (ou ne font que lui donner le titre de saint), le simple fait que ceux-ci acceptent l’antipape François les rend idolâtres - et ça inclut quantité de faux-traditionalistes.
Ils ont renié le premier Commandement. Ils professent croire en un dieu qui sanctifie ceux qui servent d’autres dieux. Ce n’est pas le vrai Dieu. Ces points démontrent que tous ceux qui ont obstinément défendu les antipapes Vatican II, face à ces faits, sont des trompeurs. Leur adhésion obstinée à une fausse position les ont placé eux et leur semblables sur une voie rapide à destination de l’idolâtrie, et ils y sont désormais arrivés. Ils ont servi les intérêts du Diable. Ils ont travaillé en ministres de Satan et en défenseurs de l’Antéchrist. Ces faits montrent à quel point il est essentiel d’adhérer à la vraie position, et de diffuser largement l’information prouvant que la Secte Vatican II n’est pas l’Église catholique.
Une minorité d’entre eux s’accrochent désespérément à la contre-Église, mais savent qu’ils ne peuvent pas accepter comme saint le vil Jean-Paul II , à cause de ce que celui-ci a fait durant sa vie. Donc, ils s’arrangent pour rejeter la canonisation, mais prétendent pourtant toujours accepter François comme pape. Ils se rendent ridicules. L’antipape François a proclamé la canonisation de Jean-Paul II dans la plénitude de sa pseudo « autorité. » La formule essentielle qu’il utilisa fut aussi solennelle que n’importe quelle canonisation dans l’histoire. Si François tenait la fonction papale, ce qui n’est absolument pas le cas, la canonisation de Jean-Paul II ferait tout autant autorité que n’importe quelle canonisation dans l’Histoire de l’Église. Chercher des excuses en pointant le procédé qu’il utilisa et l’examen qu’il conduisit avant la déclaration solennelle, est hors-sujet. Dieu protège les actions de vrais papes dans des cas comme celui-ci, sans tenir compte de l’étude entreprise ou du procédé utilisé par le pape, comme le savent ceux qui croient réellement en l’infaillibilité papale.
Par conséquent, ceux qui disent que François est le pape (une position clairement absurde), mais rejettent sa canonisation de Jean-Paul II, sont tout simplement tombés dans une position schismatique et renient l’infaillibilité papale. Ils ont quitté l’enseignement catholique — et embrassé un semblant des sectes “Vieille Catholique” ou de l’Orthodoxie orientale — dans une vaine tentative de sauver la Grande Prostituée ainsi que la non-papauté de François. Ce-faisant, ils remettent en question chaque canonisation dans l’Histoire de l’Église. Au lieu d’accepter et défendre la vérité en toute simplicité, à savoir que les prétendants Vatican II à la papauté sont des antipapes, ils choisissent de commettre des péchés mortels et renient la protection que Jésus-Christ donna à Son Église et à la fonction papale. La seule façon de rejeter la pseudo canonisation de Jean-Paul II, comme doivent le faire les gens voulant se sauver, c’est de reconnaitre correctement que François n’est pas le pape, mais un antipape hérétique, un non-catholique, et que la secte Vatican II n’est pas l’Église catholique.
Il y a en a d’autres qui, dans un désespoir similaire, prétendent que la canonisation de Jean-Paul II signifie seulement qu’il s’est repenti, ou qu’il aurait pu se repentir de ses actions horribles et viciées et ensuite aller au Paradis. Cette affirmation est elle aussi complètement fausse, pour deux raisons. Tout d’abord, puisque Jean-Paul II promouvait constamment le faux-oecuménisme, l’indifférentisme religieux et servait moult faux dieux en paroles et en actions au for externe, selon l’enseignement catholique, une répudiation de ses croyances et actions viciées aurait dû avoir lieu au for externe afin que quelqu’un puisse conclure qu’il s’est converti du service qu’il rendait à de faux-dieux ; mais bien sûr, il n’y a eu aucune conversion telle que celle-ci, ni répudiation de sa carrière tout entière faites au for externe. En fait, bien au contraire, dans le tout dernier document de Jean-Paul II, sa dernière volonté, son testament, il reconnaît le rabbin de Rome et les représentants de religions non-chrétiennes, dont il servit les faux dieux ; et évidemment, il n’y répudie pas son apostasie ni ne demande aux infidèles de se convertir au seul vrai Dieu et à la foi catholique. Il est dès lors interdit pour quiconque, selon les principes catholiques, de conclure que Jean- Paul II s’est converti de son indifférentisme religieux, du service qu’il rendait aux faux dieux, etc. — qu’il afficha pendant des décennies. Les principes catholiques interdisent à quiconque de conclure qu’il est n’importe où sauf en Enfer.
Deuxièmement, l’argument susmentionné est démoli par le fait qu’une canonisation d’un saint ne signifie pas simplement que la personne est au Paradis. Elle signifie aussi que durant la vie de la personne, en tant que catholique, celle-ci manifestait une vertu héroïque et vivait une vie catholique exemplaire, même si sa conversion à la vraie foi clairement manifestée au for externe, s’est produite peu avant son martyr ou sa mort.
Comme l’enseigna le pape Pie XI dans son encyclique du 31 décembre 1929 : « … De fait, les saints ont été, sont et seront toujours les plus grands bienfaiteurs de la société, comme aussi les modèles les plus parfaits pour toutes les classes et toutes les professions... »
Il est donc impossible de faire divorcer la canonisation de Jean-Paul II avec ce qu’il fit et enseigna en tant qu’antipape. En effet, la Secte Vatican II le canonisa précisément pour sa carrière en tant qu’antipape — laquelle fut caractérisée par le vice, le faux-oecuménisme, l’ indifférentisme religieux et le service rendu aux faux-dieux. Dès lors, ceux qui acceptent Jean-Paul II comme un ‘saint’ rejettent le premier Commandement et s’impliquent dans l’idolâtrie.
Il faut aussi comprendre que l’importance de Jean-Paul II, et pourquoi il fut l’Antéchrist, ne se trouve pas dans ce que les gens pensent de lui et ce, pas du tout, ou alors d’une façon moindre. En fait, ça ne fait aucune différence. En revanche, son importance entre en ligne de compte quand, à la suite de ce qu’il fit durant sa vie, le simple fait de l’accepter comme « saint, » ne serait-ce qu’une seule foi, c’est rejeter le premier Commandement et être impliqué dans l’idolâtrie. Voilà pourquoi l’Apocalypse dit que tous ceux qui vénèrent l’image de la bête — celle qui est blessée puis se rétablit — et meurent non-convertis, seront torturés pour l’éternité, pour les siècles des siècles. Ils n’auront jamais plus de repos, c’est l’Apocalypse qui le dit ; et c’est parfaitement logique, car ils auront alors professé une croyance en un dieu qui sanctifierait ceux qui servent de faux-dieux, et ceci n’est pas le vrai Dieu.
De plus, comme prouvé dans notre vidéo, La prédication de « saint » Jean-Paul II, Jean-Paul II prétendait aussi être Dieu, et cela correspond également aux prophéties au sujet de la Bête ; car en ce qui concerne la bête qui était, l’Empire Romain paganisé, le roi romain prétendait être Dominus et Deus (Seigneur et Dieu). Jean-Paul II fit pareil. C’est un fait, mais il est clair que la vérité couverte sur ce sujet passera au-dessus de la tête de la majorité des gens. Peu importe comment il aura été prouvé de façon claire et complète que Jean-Paul II prêchait réellement que le Fils de Dieu est devenu chaque homme lors de l’Incarnation, et que l’homme est par conséquent Jésus-Christ, le Fils de Dieu, la plupart des gens manquent tout simplement les grâces et l’honnêteté de reconnaitre ce qu’enseignait Jean-Paul II à cet égard. Même si peu de gens reconnaissent la vérité que Jean-Paul II enseignait qu’il est Jésus-Christ durant tout son anti-pontificat, il est parfaitement logique que celui qui remplit les prophéties à propos de l’Antéchrist, et poussa tant de gens dans l’idolâtrie, prétendait dans le même temps être Dieu en personne. C’est aussi remarquable qu’à travers la vénération de son image et la pseudo « canonisation, » Jean-Paul II fait tout autant de dommages aux âmes, voire davantage, après sa mort que durant sa vie.
Le fait que Jean-Paul II était l’Antéchrist s’imbrique précisément avec les prophéties concernant les sept rois romains, l’un desquels est apparemment blessée à mort mais se rétablit ; et la bête montant de la mer, c’est-à-dire l’Union européenne, surgissant durant le règne du sixième roi, quand cinq sont tombés. C’est couvert en détails dans notre vidéo en français, Le Monde arrive-t-il à sa Fin ?, et dans la vidéo en anglais, François et les sept rois de l’Apocalypse.
En ayant ces faits en tête, nous devrions être en mesure de voir clairement en quoi l’explication de la Prostituée de Babylone dans Apocalypse 17 est aussi une explication de la bête, et en quoi l’étonnement exprimé quant à la prostituée est aussi l’étonnement exprimée quant à la bête. C’est parce que l’Antéchrist en personne, le roi romain de la bête qui est blessée, et dont l’image est ensuite vénérée, est l’un des antipapes de la Grande Prostituée de Babylone ; et tout comme le culte de faux-dieux dans l’Empire romain paganisé s’entremêlait avec une exigence d’honorer le roi romain, dans la nouvelle version de la Bête on trouve pareillement une cérémonie impliquant la vénération de l’ image du roi romain, laquelle est combinée avec, et est en fait, l’instrument d’une imposition répandue d’idolâtrie. De plus, l’apostasie de la Prostituée de Babylone explique pourquoi l’Union Européenne impie, la dimension politique de la bête montant de la mer, a été en mesure de prendre forme. C’est pourquoi la Prostituée est assise sur la Bête. Sa direction spirituelle démoniaque et sa prostitution donnent les raisons de la formation d’un nouvel empire païen en Europe, remplaçant l’Europe chrétienne. Donc, quand nous regardons le véritable accomplissement de la prophétie concernant la bête qui était et n’est plus, ainsi que la Prostituée romaine qui s’assoit dessus, on peut voir très clairement en quoi l’explication de l’ange sur l’une, expliquait l’autre, et en quoi l’étonnement exprimé pour l’une, était le même étonnement exprimé pour l’autre.
Aussi, les parallèles entre la bête qui était, l’Empire romain paganisé, et sa nouvelle version , l’Europe des temps modernes, devient encore plus intéressants.
Dans la bête qui était, l’Empire romain paganisé, les autorités n’imposaient pas seulement l’adoration de faux-dieux et l’image du roi romain. Ils exigeaient aussi que les gens rendent les honneurs à quantité de rois romains païens décédés. Et dans l’Europe des temps modernes, la bête montant de la mer, la même chose est en train d’arriver. La Prostituée de Babylone est allé jusqu’à vénérer officiellement les images des divers antipapes de la secte Vatican II — ces hommes qui, comme Jean-Paul II, embrassaient aussi le paganisme, endossaient des maux de diverses sortes, et servaient de faux-dieux. Ce furent les rois romains de la Cité-État du Vatican les plus responsables de la formation de la secte Vatican II, la transformation de l’Europe, et le retour de l’Europe au Paganisme. Voilà pourquoi l’antipape Jean XXIII, le vil hérétique doublé d’un franc-maçon qui convoqua le second concile du Vatican, fut lui aussi soi-disant canonisé avec une imposition de la vénération de son image. C’est pourquoi l’antipape Paul VI, un hérétique total des plus démoniaques qui promulgua la Nouvelle Messe, confirma les enseignements maléfiques de Vatican II, et tenta de retirer le plus possible du monde entier la Messe catholique, est lui aussi soi-disant « béatifié. »
La nouvelle version de l’Empire romain paganisé est à l’œuvre juste sous nos yeux, d’où les rois romains décédés, les antipapes les plus responsables de la re-paganisation de l’Europe, reçoivent les honneurs parmi les faux-dieux. La Bête qui était et n’est plus, est revenue. Le Diable veut que les images de ces divers antipapes soient honorées, pas seulement Jean-Paul II, parce que tous illustraient la vilénie, le vice. Ils embrassaient tous l’hérésie et les fausses religions. Ils servaient tous de faux-dieux. En honorant n’importe lequel d’entre eux comme sanctifié ou béni, on professe que la sanctification vient par la vilénie. Néanmoins, l’image de Jean-Paul II — l’image de celui qui fut blessée et prétendait être Jésus-Christ — est la plus importante. Elle est pointée du doigt dans l’Apocalypse parce que Jean-Paul II, de façon hautement notoire, servait de faux-dieux et bâtissait des temples pour l’adoration, et conséquemment, la vénération de son image constitue le lien le plus immédiat et direct vers l’idolâtrie donnée aux masses.
Dès lors, si vous pensez que dans le futur, viendront sept rois romains faisant partie du nouveau royaume à Rome, avec un nouvel empire sur la Mer Méditérranée constituant une nouvelle version de la bête qui était, surgissant lorsque cinq de ces rois sont tombés, avec un de ces rois romains se faisant blessé, trompant le monde, et poussant les masses à s’impliquer dans l’idolâtrie à travers la vénération de son image, eh bien, vous avez tort. Ça ne se produira pas dans le futur. C’est déjà arrivé, et nous sommes actuellement dans la phase finale.
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praise be the Lord Jesus Christ, all honor and glory be to His holy mother,Mary.
plaquemine 7 moisLire plus...Absolument De plus il est écrit beaucoup chercheront à entrer qui ne le pourront pas’
Derriey 7 moisLire plus...GLOIRE A DIEU METTONS NOUS A LA DISPOSITION DE JESUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR. AGISSONS, obéissons lui. Combattons sous ses ordres avec obéissance. Amen
MICHEL 8 moisLire plus...Nous réfutons votre objection dans notre livre, Hors de l'Église catholique il n'y a absolument pas de salut : https://vaticancatholique.com/catechisme-saint-pie-x-bapteme-de-desir/
Monastère de la Très Sainte Famille 9 moisLire plus...bonjour vous dites un peu partout sur votre site que le dogme du baptême de désir n'est pas catholique, pourtant il est dans le catéchisme de Saint Pie X
TD 9 moisLire plus...Magnifique ! Merci !
Émilie 10 moisLire plus...Merci infiniment de mettre ce calendrier Liturgique à disposition ! Un bon repère, même pour ceux qui, hélas, n'ont pas la possibilité de participer à la Liturgie traditionnelle... Merci également...
smsc 12 moisLire plus...Bonjour, et merci ! C'est une immonde imposture, ils recevront le digne salaire de leurs œuvres les enfants de Belial qui ont fait cela !
Frédéric 1 anLire plus...bien dit, les MHFM, je suis entièrement d'accord avec vous.
Marcel 1 anLire plus...Merci infiniment pour votre investigation, j'ai aussi eu la même sensation, que cette Sœur Lucie n'était pas la vraie, et cette grande différence en regardant les photos, il faut être...
Rose 1 anLire plus...