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Confessions avec Padre Pio
Dans l'Évangile de Jean, nous voyons que le pouvoir de pardonner les péchés fut conféré par Jésus-Christ aux Apôtres. Ce pouvoir de pardonner les péchés, conféré aux prêtres validement ordonnés par un évêque, allait jouer un rôle important dans la vie et les miracles de Padre Pio. De 1918 à 1923, Padre Pio confessa de quinze à dix-neuf heures par jour. Dans les années 1940 et 1950, il confessait généralement un peu moins que cela, mais toujours de cinq à huit heures par jour. [34]
Les confessions avec Padre Pio ne duraient en moyenne que trois minutes. D’après un calcul, Padre Pio entendit, au total, près de 5 millions de confessions. [35]
Tant de gens voulaient se confesser devant Padre Pio, qu’ils devaient généralement attendre leur tour pendant deux ou trois semaines. [36] Le nombre de personnes devint si important qu'il fut nécessaire d'ouvrir un bureau pour distribuer des tickets. Les tickets étaient numérotés ; ils indiquaient où les gens devaient faire la queue pour le confessionnal de Padre Pio. [37] Ce système de numérotation fut mis en place à partir de janvier 1950. [38] Il était également interdit de se rendre à la confession de Padre Pio plus d'une fois tous les huit jours.
Un homme de Padoue, qui était allé se confesser à Padre Pio, essaya à nouveau de se confesser avant que la période d'attente de huit jours ne se fût écoulée. Afin de contourner le règlement, il mentit sur le nombre de jours écoulés depuis sa dernière confession avec Padre Pio. Quand il entra au confessionnal, Padre Pio le mit dehors et l'accusa vivement d’avoir menti. Expulsé, l'homme dit en pleurant : « J'ai raconté beaucoup de mensonges dans ma vie, et je pensais que je pouvais aussi tromper Padre Pio. » [39] Mais Padre Pio avait eu connaissance de son mensonge de façon surnaturelle.
Padre Pio exigeait que chaque confession fût une véritable conversion. Il ne tolérait pas le manque d'honnêteté dans la présentation des péchés. Il était très dur avec ceux qui ne faisaient pas d’excuses, qui étaient de mauvaise foi, ou qui manquaient de fermeté dans leur résolution de changer. Il exigeait la franchise et l'honnêteté totale du pénitent ; ainsi qu’une vraie et sincère contrition, et une fermeté absolue dans les résolutions prises pour l’avenir. [40]
Beaucoup de pénitents de Padre Pio firent cette déclaration stupéfiante, qu’une fois dans son confessionnal, ils ressentaient la formidable impression de se trouver devant le siège du jugement de Dieu. [41]
Si le pénitent n'était pas honnête, ou ne faisait que réciter la liste de ses péchés sans la ferme résolution de changer, Padre Pio leur disait souvent en grognant « partez. » [42] De nombreuses personnes rapportèrent que Padre Pio se montrait bourru et irritable, et qu'il refermait parfois le clapet du confessionnal à la face du pénitent. Souvent, les pénitents étaient morigénés avec virulence. [43]
Un homme qui fut jeté hors du confessionnal par Padre Pio déclara : « Quelle sorte de moine scélérat est-ce là ? Il ne m'a pas laissé le temps de dire un mot ; il m’a de suite traité de vieux cochon en me disant de sortir ! » On répondit à cet homme que Padre Pio avait probablement eu de bonnes raisons de l’insulter de vieux cochon et de le traiter de cette façon. « Eh bien, je ne vois pas pourquoi…, » dit l'homme expulsé du confessionnal ; mais quelque temps après cela, il dit : « c’est peut-être parce qu’il m’est arrivé de vivre avec une femme qui n'était pas ma femme… » [44]
Padre Pio expulsait aussi certains prêtres et évêques hors de son confessionnal. [45] Une fois, il dit à un prêtre : « Si seulement tu avais pleinement conscience de la chose terrible que c’est de s’asseoir au tribunal du confessionnal ! Nous administrons le Sang du Christ. Nous devons veiller à ne pas survoler le sujet en étant trop bon vivant ou négligent. » [46]
Un autre individu alla se confesser à Padre Pio dans le but de le tester. Il voulait voir si Padre Pio pourrait deviner ce qu'il dissimulait. L'homme raconta à Padre Pio qu'il n'était pas là pour confesser ses péchés, mais pour demander des prières pour quelqu’un de sa famille. Ce n'était pas vrai, et Padre Pio le sut immédiatement. Padre Pio le frappa au visage et lui ordonna de quitter le confessionnal. [47]
Une femme, venue voir Padre Pio après un long voyage, lui dit en confession : « Padre Pio, il y a quatre ans, j'ai perdu mon mari et, depuis lors, je ne suis plus allé à l'église. » Voici ce que répondit Padre Pio tout en claquant la porte du confessionnal: « Parce que vous avez perdu votre mari, vous avez également perdu Dieu ? Allez-vous-en ! Allez-vous-en ! »
Peu de temps après cet événement, la même femme retrouva la foi, et l’attribua à la façon dont Padre Pio l’avait traitée - reconnaissant probablement combien elle avait mis son attachement pour son mari au-dessus de Dieu. [48]
André Mandato parla de la fois où il était allé se confesser à Padre Pio : « J’allais à l'église chaque dimanche, mais je n'avais pas une croyance profonde en la Confession. Je n’y allais que très rarement. J'ai commencé à croire en la Confession seulement après être allé chez Padre Pio. La première fois où je me suis confessé à lui, il m’a récité les péchés que j'avais commis. » [49]
Katharina Tangeri décrivit sa confession à Padre Pio: « ... Padre Pio commençait par nous demander combien de temps s’était écoulé depuis notre dernière confession. Cette première question établissait le contact entre Padre Pio et le pénitent ; on avait soudain l’impression que Padre Pio savait tout sur nous. Si nos réponses n'étaient pas claires, ou inexactes, il les corrigeait ; on avait le sentiment que... son œil pouvait voir notre âme telle qu'elle apparaît réellement à Dieu. » [50]
Padre Pio fit des commentaires sur le nombre de confessions qu'il avait entendues, et comment il arrivait à en faire autant : « Il y a eu des moments où j’entendais des confessions 18 heures d’affilée. Je n'ai pas eu un moment à moi. Mais Dieu m'aide efficacement dans mon ministère. Je me sens la force de renoncer à tout, du moment que les âmes retournent vers Jésus et aiment Jésus.» [51]
John McCaffery alla se confesser auprès de Padre Pio, et mit par écrit son expérience extraordinaire. McCaffery voulait que Padre Pio prie pour certains de ses amis.
McCaffery se souvient : « Alors, durant la pause, j'ai commencé à lui dire “Et aussi Padre ...,” mais lui m'interrompit avec un sourire, en me disant : “Oui, je me souviens aussi de vos amis.” » [52]
Une femme du nom de Nerina Noé s’était rendue chez Padre Pio pour la confession. Elle lui dit qu'elle pensait arrêter de fumer ; mais elle ne s’attendait pas à la réponse bourrue de Padre Pio : « Les femmes qui fument des cigarettes sont dégoûtantes. » [53]
Frédéric Abresch faisait partie de ces pénitents qui s’étaient convertis après une confession auprès de Padre Pio. Voilà ce qu’il raconta de son incroyable conversion :
« En novembre 1928, quand je suis allé voir Padre Pio pour la première fois, ça faisait quelques années que j’étais passé du protestantisme au catholicisme ─ je l’avais fait par commodité sociale. Je n’avais pas la foi ; au moins, maintenant, je comprends que j’avais l'illusion de l'avoir. Comme j’avais été élevé dans une famille très anti-catholique, et que j’étais imbu de préjugés contre les dogmes à tel point que même l’enseignement n’avait pu les effacer, j'étais toujours avide de choses secrètes et mystérieuses.
« J'avais rencontré un ami qui m'avait initié aux mystères du spiritisme. Mais, assez rapidement, je me suis fatigué de tous ces messages peu convaincants de l’au-delà ; je me suis alors jeté avec ferveur dans l’occultisme, et toutes sortes de magies, etc. Je rencontrai ensuite un homme qui m’avait dit, d’un air mystérieux, qu'il était en possession de la seule vérité : la “Théosophie.” Je devins rapidement son disciple, et sur nos tables de nuit, nous accumulâmes des livres aux titres très alléchants et envoûtants. Avec assurance, et en me donnant de l’importance, je me gargarisais de termes tels que “réincarnation,” “logos,” “Brahma,” “Maja,” attendant avec impatience l’avènement supposé d’une nouvelle forme de réalité.
« Je ne sais pas pourquoi, même si je pense que c’était avant tout pour faire plaisir à ma femme, je continuais de temps en temps d’approcher les saints Sacrements. Tel était mon état d’esprit lorsque, pour la première fois, j'entendis parler de ce père capucin qu’on m’avait décrit comme étant un crucifix vivant, opérant des miracles en continu.
« De plus en plus curieux... Je décidai d'aller voir ça de mes propres yeux... Je m’agenouillai au confessionnal [et je dis à Padre Pio que]... je considérais la confession comme une bonne institution sociale et éducative, mais que je ne croyais pas du tout en la divinité du sacrement... alors, le Padre, avec des marques de grande tristesse, me dit “Hérésie ! Donc toutes vos communions ont été sacrilèges... vous devez faire une confession générale. Examinez votre conscience et rappelez-vous la dernière fois que vous avez fait une bonne confession. Jésus a été plus clément avec vous qu’Il ne l’a été envers Judas.”
« Puis, regardant par-dessus ma tête avec un air sévère, il s’écria d'une voix forte, “Loués soient Jésus et Marie !” et il se dirigea ensuite vers l'église pour y entendre les confessions des femmes ; tandis que moi je restais là, dans la sacristie, très ému et impressionné. Ma tête tournait et je ne pouvais pas me concentrer. Je l’entendais encore me dire à l’oreille : “Rappelez-vous de la date de votre dernière bonne confession !” Avec difficulté, j’étais parvenu à la décision suivante : dire à Padre Pio que j'avais été protestant et que, bien après l'abjuration j’avais été rebaptisé (conditionnellement), et que tous les péchés de ma vie passée avaient été anéantis par la vertu du saint Baptême. Mais pour me sentir tranquille, je voulais commencer la confession par mon enfance.
« Quand le Padre retourna au confessionnal, il me répéta la question : “Alors, à quand remonte votre dernière bonne confession ?” Je lui répondis : “Père, c’est quand j’étais...,” mais à ce moment précis, le confesseur m’interrompit en disant : “... votre dernière bonne confession remonte à votre retour de voyage de noces ; laissons tout le reste de côté et commençons à partir de là !”
« Je restai bouche bée, frappé de stupeur, comprenant que j'avais touché là au surnaturel. Mais le Padre ne me laissa pas le temps de réfléchir. Dissimulant le fait qu’il connaissait tout mon passé, et sous forme de questions, il énuméra tous mes défauts avec précision et clarté... Après que le Padre eût mis tous mes péchés mortels en lumière, avec des mots impressionnants, il me fit comprendre la gravité de mes fautes, ajoutant avec un ton de voix inoubliable : “Vous avez chanté un hymne à Satan, alors que Jésus, dans Son amour ardent, s’est brisé le cou pour vous.” Puis il me donna la pénitence et l’absolution... Je crois maintenant non seulement aux dogmes de l'Église catholique, mais aussi la moindre de ses célébrations... Pour m’enlever cette foi, il faudrait aussi m’enlever la vie. » [54]
Joe Greco ─ désormais grand dévot de Padre Pio ─ avait fait un rêve où il avait rencontré Padre Pio sur une route et lui avait demandé de sauver son père malade. Le père de Joe avait soudainement guéri après ce rêve. Pour remercier Padre Pio, Joe décida d’aller le voir en personne. Après avoir attendu quatre jours, Joe réussit à se rendre chez Padre Pio pour la confession. Voici sa description de la rencontre :
« L’élément déclencheur fut quand Padre Pio me vit et qu’il me dit: “Ah, c’est que votre père va bien alors.” Je fus vraiment étonné parce que je n’avais jamais été à San Giovanni Rotondo avant cette période. Je ne m’étais jamais rendu dans cette partie du monde, je ne connaissais personne là-bas. Et pourtant, en lui posant ma question dans la tête, je lui disais : “est-ce que c’était vous, est-ce que c’était vous ?” Et lui me répondit : “dans le rêve, oui dans le rêve.” Eh bien là, j'ai commencé à trembler, j’avais vraiment peur pour vous dire la vérité. Je répondais “Oui, mon Père, dans le rêve mon père.” Je lui ai récité mes péchés, et avant qu'il me donne l'absolution il m'a dit : “Maintenant donc, il y a autre chose que vous savez [que vous n'avez pas mentionné dans la confession].” Je lui dis “Eh bien mon Père, je ne me rappelle de rien d'autre.” Padre Pio poursuivit en décrivant un incident qui s’était passé avec une femme dans le parc, à mes débuts dans l'armée. Tout ça me revenait. J’aurais préféré que la terre s’ouvre devant moi pour m’avaler, tellement j’étais gêné. Alors je dis à Padre Pio: “Oui, mon Père, tout me revient et je crains d’avoir oublier de le dire dans la confession, j'ai tellement honte.” “Eh bien, me dit-il, vous avez porté ce péché avec vous depuis 1941, et pour vous dire la vérité ça s’est passé à Blackburn.” Et en me levant pour sortir, Padre Pio me dit : “Encore autre chose que vous avez oubliée…” Il y avait un léger sourire sur son visage. Je lui dis : “Oh non mon père, vraiment, il n'y a rien d'autre dont je me souvienne.” Je pensais que c'était à propos d'un péché. Et il dit : “regardez dans votre poche.” Je sortis alors mon chapelet [de ma poche], le lui donnai. Il le bénit et me le rendit. Et ce fut tout. »
Un homme dit à Padre Pio en confession : « Mais je suis attaché à mes péchés, j’en ai besoin pour vivre. Aidez-moi à trouver un remède. » Padre Pio lui donna une prière à réciter pour saint Michel Archange tous les jours pendant 4 mois. [55]
Don Castello Nello, un prêtre de Padoue, en Italie, qui était allé se confesser des centaines de fois chez Padre Pio, raconte son incroyable expérience : « Je suis allé me confesser à Padre Pio au moins une centaine de fois. Je me souviens de la première fois ; ses paroles m’avaient à la fois secoué et éclairé. Les conseils qu'il m'avait donnés reflétaient une connaissance exacte de toute ma vie passée et future. À certains moments, il me surprenait par des suggestions sans rapport avec les péchés confessés. Mais des événements survenus plus tard au cours de ma vie m’indiquèrent clairement que son conseil avait été prophétique. Lors d’une confession en 1957, il me parla d’un même sujet à cinq reprises, avec insistance, en utilisant des mots différents et pour me rappeler une terrible faute d'impatience. Il m’éclaira également sur les causes profondes de l'impatience. Il me décrivit le comportement que je devais avoir pour éviter cette impatience à l'avenir ; ceci sans lui avoir dit quoi que soit à ce sujet. Donc, il connaissait mes problèmes mieux que moi, et me conseillait comment les corriger. » [56]
Parmi ceux qui visitaient Padre Pio, certains se disaient non-croyants. Quelques-uns venaient le voir par curiosité, d'autres pour se moquer aussi bien de Padre Pio que de Dieu.
Deux francs-maçons, farouchement opposés à Dieu et à l'Église catholique, avaient décidé d’avouer des péchés qu’ils avaient inventés à Padre Pio. Leur but était de profaner le sacrement de Pénitence. Ces hommes allèrent le voir séparément. Alors qu’ils commençaient à confesser leurs péchés montés de toutes pièces, Padre Pio les arrêta net, leur disant qu'il savait ce qu'ils faisaient, et commença à réciter à chacun d’entre eux leurs péchés ─ mentionnant l'heure, le lieu, et comment ils les avaient commis. Les deux hommes devinrent tellement confus que quelques jours plus tard, ils se repentirent de leur vie de péchés et se convertirent. [57]
Un communiste incrédule était aussi venu voir Padre Pio pour la confession. À l'époque, il n'avait toujours pas abandonné ses croyances malsaines. Padre Pio le chassa hors du confessionnal, en disant : « Que faites-vous en face du tribunal de Dieu, si vous ne croyez pas ? Allez ! Allez-vous-en ! Vous êtes un communiste ! » [58]
Dans le confessionnal, Padre Pio disait ce genre de choses :
En confession quelqu’un le questionna sur l'existence même de l'Enfer. Padre Pio lui rétorqua: « Vous y croirez quand vous y serez. » [60]
Padre Pio considérait que le fait d'aller fréquemment en confession était quelque chose de nécessaire pour grandir dans la vie spirituelle. Il allait se confesser au moins une fois par semaine. Il ne voulut jamais que ses enfants spirituels restassent sans confession pendant plus de dix jours. [61]
Une fois, quelqu’un demanda à Padre Pio : « On confesse tout ce dont on peut se souvenir ou que l’on sait, mais peut-être que Dieu voit d'autres choses dont on ne peut pas se rappeler. » Voilà ce qu’il a répondu : « Si nous mettons [dans la confession] toute notre bonne volonté et que nous avons l'intention d’avouer [tous les péchés mortels]... tout ce que l’on sait ou dont on se rappelle ─ la miséricorde de Dieu est si grande qu'il inclut et efface même ceux dont nous ne nous souvenons pas ou que nous ne connaissons pas. » [62]
C’est pour cette raison qu’on devrait dire à la fin de chaque confession : « Et je confesse tout péché que j’aurais pu avoir oublié et que je n’aurais pas mentionné dans cette confession. »
Notes :
[34] Padre Pio: The True Story, p. 294.
[35] Padre Pio of Pietrelcina, p. 89.
[36] Padre Pio of Pietrelcina, Walking in the Footsteps of Jesus Christ, The Leaflet Missal Company, St. Paul, MN. p. 72.
[37] The Life of Padre Pio, pp. 148-149.
[38] P. John A. Schug, Padre Pio, p. 122.
[39] The Wonder Worker, p. 30.
[40] The Wonder Worker, pp. 40, 41.
[41] The Wonder Worker, p. 42.
[42] P. John A. Schug, Padre Pio, p. 122.
[43] Blessed Padre Pio, p. 57.
[44] Blessed Padre Pio, p. 59.
[45] P. John A. Schug, Padre Pio, p. 133.
[46] The Wonder Worker, p. 41.
[47] Blessed Padre Pio, p. 59.
[48] Madame Katharina Tangari, Stories of Padre Pio, TAN Books, Rockford, IL, p. 57.
[49] Patricia Treece, Quiet Moments with Padre Pio, Servant Publications, Ann Arbor, MI. #94.
[50] Stories of Padre Pio, p. 50.
[51] Quiet Moments with Padre Pio, #69.
[52] Blessed Padre Pio, p. 54.
[53] Roads to Padre Pio, p. 183.
[54] Stories of Padre Pio, pp. 107-109.
[55] Prophet of the People, p. 207.
[56] The Wonder Worker, p. 30.
[57] The Wonder Worker, p. xi.
[58] Who is Padre Pio, p. 28.
[59] The Wonder Worker, p. 41.
[60] Vidéo, A Celebration of Padre Pio, Pray, hope and don’t worry, National Centre for Padre Pio, Barto, PA.
[61] The Wonder Worker, p. 41.
[62] The Wonder Worker, p. 128.
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praise be the Lord Jesus Christ, all honor and glory be to His holy mother,Mary.
plaquemine 7 moisLire plus...Absolument De plus il est écrit beaucoup chercheront à entrer qui ne le pourront pas’
Derriey 7 moisLire plus...GLOIRE A DIEU METTONS NOUS A LA DISPOSITION DE JESUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR. AGISSONS, obéissons lui. Combattons sous ses ordres avec obéissance. Amen
MICHEL 8 moisLire plus...Nous réfutons votre objection dans notre livre, Hors de l'Église catholique il n'y a absolument pas de salut : https://vaticancatholique.com/catechisme-saint-pie-x-bapteme-de-desir/
Monastère de la Très Sainte Famille 9 moisLire plus...bonjour vous dites un peu partout sur votre site que le dogme du baptême de désir n'est pas catholique, pourtant il est dans le catéchisme de Saint Pie X
TD 9 moisLire plus...Magnifique ! Merci !
Émilie 10 moisLire plus...Merci infiniment de mettre ce calendrier Liturgique à disposition ! Un bon repère, même pour ceux qui, hélas, n'ont pas la possibilité de participer à la Liturgie traditionnelle... Merci également...
smsc 12 moisLire plus...Bonjour, et merci ! C'est une immonde imposture, ils recevront le digne salaire de leurs œuvres les enfants de Belial qui ont fait cela !
Frédéric 1 anLire plus...bien dit, les MHFM, je suis entièrement d'accord avec vous.
Marcel 1 anLire plus...Merci infiniment pour votre investigation, j'ai aussi eu la même sensation, que cette Sœur Lucie n'était pas la vraie, et cette grande différence en regardant les photos, il faut être...
Rose 1 anLire plus...