Les hérésies dans Vatican II que vous ne saviez peut-être pas

Vatican II est une nouvelle religion (preuve visuelle) [vidéo]

- le faux concile révolutionnaire qui avait lieu de 1962 jusqu’à 1965 –

Du livre La vérité sur ce qui est réellement arrivé à l'Église catholique après Vatican II

Rédigé par Fr Michael Dimond et Fr Peter Dimond

Vatican II - Hérésie juive [vidéo]

Vatican II – était-il infaillible ? [vidéo]

Les hérésies dans Vatican II [section du livre]

Vatican II – était-il infaillible ? [article]

(Cet article est destiné à ceux qui reconnaissent déjà qu’il y avait des hérésies et fausses doctrines dans Vatican II, et qui soutiennent néanmoins que les « papes » Vatican II qui les ont promulguées tiennent encore l’autorité suprême dans l’Église catholique. Cette vidéo ci-dessus ayant le même titre contient des matériaux supplémentaires et est fortement recommandée en ce qui concerne cette question.)

Le Troisième Secret de Fatima – un aperçu de l’apostasie de Vatican II en totalité

Une introduction au faux œcuménisme et quelques commentaires sur des actes hérétiques

*L'œcuménisme est un mot qui, avant Vatican II, était utilisé pour désigner l'effort apostolique de convertir toutes personnes au catholicisme. Un Concile « œcuménique » est un concile général de l'Église catholique qui lie de façon universelle, tel que le concile de Trente. Mais après Vatican II et à la suite de celui-ci, le terme a pris un nouveau sens : « l'œcuménisme » décrit désormais le mouvement pour s'unir, accepter, approuver et/ou prier avec les sectes hérétiques et les fausses religions.

« Cardinal » Walter Kasper, chef du Conseil du Vatican pour la promotion de l’unité des chrétiens : «  ... nous ne comprenons plus aujourd'hui l'œcuménisme dans le sens de l’œcuménisme du retour, selon lequel les autres doivent se convertir et devenir catholiques. Ceci a été expressément abandonné à Vatican II. »[1]

Kasper fut désigné pour avoir cette position par Jean-Paul II afin qu’il exprime ses opinions sur ce sujet même. C’est parce que Jean-Paul II et Benoît XVI, qui étaient en étroite collaboration avec Kasper, croyaient la même chose exactement pareille.

Benoît XVI, Discours, aux protestants, Journée mondiale de la jeunesse ; 19 août 2005 : « Et à présent demandons-nous : que signifie rétablir l’unité de tous les chrétiens ?... Cette unité, selon notre conviction, subsiste, oui, dans l'Eglise catholique sans possibilité d'être perdue (cf. Unitatis redintegratio, n. 4); l'Eglise en effet n'a pas totalement disparu du monde. D'autre part, cette unité ne signifie pas ce que l’on pourrait appeler un œcuménisme du retour : c’est-à-dire renier et refuser sa propre histoire de foi. Absolument pas! »[2]

Nous voyons ici que Benoît XVI affirme franchement qu’il rejette absolument « l’œcuménisme du retour », à savoir, que les non-catholiques doivent renier leur propre « foi » protestante et se convertir au catholicisme pour l’unité ! Benoit XVI a l’audace de répéter l’hérésie de Kasper, et rejette franchement l’enseignement dogmatique dans Mortalium Animos concernant la nécessité de l’œcuménisme « du retour » à l’Église catholique ! « Absolument pas ! », dit Benoît XVI pour répondre à l’idée que les protestants ont besoin de se convertir ! Il lui serait impossible d’être plus formellement hérétique.

Pape Pie XI, Mortalium animos ; 6 jan. 1928 : « ... il n’est pas permis, en effet, de procurer la réunion des chrétiens autrement qu’en poussant au retour des dissidents à la seule véritable Église du Christ... »

Ce type de faux œcuménisme est une marque distinctive de l’apostasie de Vatican II, et il est absolument condamné par l’enseignement catholique. Il se moque tout à fait du dogme selon lequel Hors de l’Église il n’y a pas de salut (un article de la Foi fréquemment définie), de la nécessité d’accepter les dogmes de la Foi catholique, des martyrs de la Foi catholique, et de Jésus-Christ.

 

La secte Vatican II et ses antipapes veulent que vous soyez en communion avec des démons

L’Église catholique enseigne qu’il n’y a qu’une seule vraie religion et que les autres religions sont fausses. L’Église catholique enseigne que les religions païennes (telles que l’hindouisme, le bouddhisme, le vaudou, etc.) qui adorent divers « dieux », adorent en réalité des démons, puisque tous les dieux des païens sont des démons.

Psa. 95 :5 - « Parce que tous les dieux des nations sont des démons... »

1 Cor. 10 :20 - « Mais ce qu’immolent les gentils, ils l’immolent aux démons et non à Dieu. Or je désire que vous n’ayez aucune société avec les démons... »

St Paul dit que lorsque les païens adorent leurs dieux, ceux-là adorent des démons, et qu’il ne veut pas que vous ayez de société avec les démons. La secte Vatican II, quant à elle, endosse pourtant ces fausses religions qui commettent l’idolâtrie et adorent des démons. C’est un mal atroce ; c’est un rejet total de l’enseignement de l’évangile et de l’Église catholique, et c’est condamné comme étant une apostasie par le pape Pie XI dans Mortalium animos.

Aux rencontres notoires de « prière œcuménique » - la plus connue étant à Assisi en 1986 et en 2002 – les chefs religieux de toutes les fausses religions majeures ont été invités pour prier ensemble avec Jean-Paul II à une église « catholique ».

Chaque religion a été invitée à offrir sa propre prière pour la paix, des prières blasphématoires, la prière hindoue par exemple, qui disait : « Que la paix soit sur tous les dieux. » Cependant, leurs dieux sont des démons, comme nous l’avons vu ci-dessus, alors on a prié la paix pour tous les démons (qui ont créé ces fausses religions) à la Journée mondiale de la prière pour la paix parrainée par le Vatican. La religion Vatican II veut que vous soyez en communion avec les démons.

 

La secte Vatican II sur l’islam

Passons maintenant à l’enseignement de la secte Vatican II sur la fausse religion de l’islam, qui rejette la Sainte-Trinité et la divinité de Jésus Christ. Benoît XVI et Jean-Paul II ont loué l’islam, une fausse religion du diable. Ci-dessous des images de Jean-Paul II dans le temple de l’infidélité (la mosquée), endossant leur fausse religion.

Pape Eugène IV, Concile de Bâle, Sess. 19, 7 sept. 1454 : « Aussi avons-nous confiance, avec la grâce de Dieu, de rendre ainsi un autre grand service à la république chrétienne ; car, cette union une fois réalisée et grâce à elle, il faut espérer que beaucoup d'adeptes de la secte abominable de Mahomet se convertiront à la foi catholique. »

L’Église catholique enseigne que l’islam est une « secte abominable » des infidèles (non-croyants). Une « abomination » est quelque chose que Dieu abhorre ; ce n’est pas une chose qu’il estime ou admire.

Pape Clément V, Concile de Vienne ; 1311-1312 : « Pour l’offense du nom divin et la honte de la foi chrétienne, il arrive que, dans certaines régions du monde soumises à des princes chrétiens, où des sarrasins [ceux qui suivent l’Islam, les musulmans] habitent avec des chrétiens, parfois à part, parfois mêlés à eux, leurs prêtres, appelés en langue vulgaire Zabazala, invoquent et annoncent à haute voix le nom de Mahomet, dans leurs temples ou mosquées, où les sarrasins se réunissent afin d’adorer le perfide Mahomet, et ceci chaque jour, à des heures déterminées, à partir d’un lieu élevé… ce qui n’abaisse pas peu notre foi et engendre un grave scandale dans le cœur des fidèles. Puisque ces choses qui déplaisent à la majesté divine ne doivent plus être tolérées, avec l’approbation du saint concile, Nous défendons avec la plus grande rigueur qu’elles se produisent désormais à l’intérieur des territoires des chrétiens… Nous enjoignons… à tous et chacun des princes catholiques… d’éliminer totalement de leurs territoires et de veiller à ce que soit éliminée la honte que ce qui précède entraîne pour eux-mêmes et pour les autres fidèles... Nous interdisons expressément que quiconque relevant de leur autorité s’aventure… à invoquer ou à professer publiquement… le nom sacrilège de Mahomet. . . Ceux qui oseront agir en sens contraire seront corrigés de telle manière. . . que les autres, terrorisés par leur exemple, seront éloignés de la même présomption. »

La secte Vatican II quant à elle enseigne que l’islam est une bonne et noble religion des « croyants ». Ceci a pour fondement l’enseignement de Vatican II sur les musulmans, le sens véritable duquel étant exprimé par les chefs de la secte Vatican II (voyez Jean-Paul II et Benoît XVI ci-dessous). Ces apostats encouragent même la propagation de cette secte abominable des infidèles.

Jean-Paul II, Message, au « Grand Cheikh Mohammed » ; 24 fév. 2000 : « L'islam est une religion. Le christianisme est une religion. L’islam est devenu une culture. Le Christianisme est aussi devenu une culture... Je remercie votre université, le plus grand centre de culture islamique. Je remercie ceux qui développent la culture islamique... »

Jean-Paul II ; 21 mars 2000 : « Que saint Jean-Baptiste protège l'islam, tout le peuple de la Jordanie... »[3]

« Cardinal » Joseph Ratzinger (Benoît XVI), Le Sel de la Terre ; 2005, p. 235 : « Il y a un islam “noble,” incarné par exemple par le roi du Maroc… »

 

La secte Vatican II sur les juifs

*La secte Vatican II enseigne que les juifs n’ont pas besoin de croire en Jésus-Christ pour le salut. La déclaration de Vatican II, Nostra aetate, affirme spécifiquement que les juifs ne sont pas rejetés par Dieu, bien qu’ils rejettent Notre-Seigneur Jésus-Christ. Regardez notre vidéo : Vatican II - Hérésie juive. La secte Vatican II enseigne également que l’ancienne alliance est encore valide, ce qui est un rejet de ce dogme suivant, défini par le concile de Florence.

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Cantate Domino ; 1441, ex cathedra : « La Sainte Église romaine croit fermement, professe et enseigne que les prescriptions légales de l'Ancien Testament qui se divisent en cérémonies, saints sacrifices, sacrements, parce qu'ils avaient été institués pour signifier quelque chose de futur, bien qu'en ce temps-là ils aient été adaptés au culte divin, une fois venu notre Seigneur Jésus Christ qui était signifié par eux, ont pris fin et qu'ont commencé les sacrements du Nouveau Testament. Quiconque encore après la Passion met son espoir dans les prescriptions légales et se soumet à elles en les croyant nécessaires au salut, comme si la foi dans le Christ ne pouvait sauver sans elles, a péché mortellement. Elle ne nie pas cependant que, depuis la Passion du Christ jusqu'à la promulgation de l'Évangile, qu’elles ont pu être respectées du moins dans la mesure où on les croyait si peu que ce fût nécessaires au salut. Mais, après la promulgation de l'Évangile, l'Église affirme qu'elles ne peuvent être respectées sans l'anéantissement du salut éternel. Donc elle dénonce comme étrangers à la foi du Christ tous ceux qui depuis ce temps-là observent la circoncision, le sabbat et les autres prescriptions légales, et affirme qu'ils ne peuvent pas du tout avoir part au salut éternel, sauf si un jour ils reviennent de ces erreurs. »

Pape Eugène IV, Concile de Florence, Se. 8, 22 nov. 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé, doit avant tout tenir la foi catholique : celui qui ne la garde pas intègre et inviolée ira, sans aucun doute, à sa perte éternelle... Mais il est nécessaire au salut éternel de croire fidèlement aussi en l'incarnation de notre Seigneur Jésus Christ... Jésus Christ, Fils de Dieu, est Dieu et homme... Telle est la foi catholique : si quelqu'un ne la croit pas fidèlement et fermement, il ne pourra être sauvé. »

Nous voyons ici le « cardinal » Walter Kasper, qui a été désigné spécifiquement à sa position par Jean-Paul II pour exprimer ses opinions à ce sujet, affirmant que la secte Vatican II a abandonné les dogmes ci-dessus :

« Cardinal » Walter Kasper : « "... la vieille théorie de substitution [c'est-à-dire la théorie de la Nouvelle Alliance se substituant à l'Ancienne] est partie depuis le Second Concile du Vatican... Par conséquent, l’Église croit que le judaïsme, c’est-à-dire la réponse fidèle du Peuple juif à l’alliance irrévocable de Dieu, est en soi source de salut, parce que Dieu est fidèle à ses promesses. » (L’adresse à la 17^ème rencontre du comité de liaison international catholique-juif, New York, 1 mai 2001.)

Tant Jean-Paul II que Benoît XVI ont été et sont tous deux pleinement d’accord avec l’hérésie de Kasper :

« Cardinal » Joseph Ratzinger (Benoît XVI), Voici quel est Notre Dieu, p. 106 : « Le “non” [des juifs] au Christ, d’un côté, met les Israélites dans une situation conflictuelle avec l’action de Dieu qui continue mais nous savons aussi, d’un autre côté, qu’en même temps la fidélité de Dieu leur est assurée. Ils ne sont pas exclus du salut... »

En réalité, Benoit XVI est pire que Kasper (si c’est possible) puisque celui-là enseigne non seulement que les juifs n’ont pas besoin de croire en Christ (une hérésie totale), mais aussi que la lecture juive des prophéties de l’Ancien Testament à propos du Messie, en d’autres termes, la position juive selon laquelle Notre-Seigneur n’est pas le Messie, peut être la véritable lecture !

« Card. » Ratzinger, Voici quel est Notre Dieu ; 2001, pp. 147-148 : « La Lecture de l’Ancien Testament peut aussi éloigner du Christ : la direction vers lui n’est pas indiquée de manière univoque. Et si les juifs ne peuvent pas estimer qu’il s’accomplit en lui, il ne s’agit pas simplement d’une mauvaise volonté. C’est à cause de l’obscurité des paroles et du rapport tendu entre la figure de Jésus et ces paroles. Jésus leur donne une signification nouvelle et pourtant ce n’est que par lui qu’elles forment un ensemble qui indique une direction et prend une signification. On peut donc, pour de bonnes raisons, refuser au Christ l’Ancien Testament et dire : non, ce n’est pas cela qu’il disait. Mais on peut, pour d’aussi bonnes raisons, le lui attribuer. C’est tout le débat entre les juifs et les chrétiens. »

Cette affirmation est une apostasie tellement antéchrist et audacieuse qu’il n’y a presqu’aucune parole qui puisse la décrire ; cependant c’est ce qu’enseigne cet homme qui prétendait être le pape. C’est un antipape non catholique. Toute personne consciente de ces faits, affirmant que Benoît XVI n'est pas un hérétique manifeste, est un antéchrist. En fait, Benoît XVI enseigne la même chose dans son livre Ma Vie - Souvenirs que nous avons lue plus haut dans Voici quel est Notre Dieu. Il est tout à fait correct de dire que Benoît XVI ne croit pas en Jésus-Christ. C'est pour cela que, comme nous le voyons ci-dessous, le 19 août 2005, il s'est rendu à la synagogue et a pris une part active à un culte juif. Participer à un culte non catholique a toujours été condamné par l'Église, et si ça se fait dans un temple non catholique, c'est une manifestation d'hérésie ou d'apostasie. Cet événement tout entier était une validation de la religion juive et une manifestation de son apostasie et de sa position selon laquelle les Juifs vont parfaitement bien malgré le fait qu’ils n'acceptent pas Jésus-Christ.

 

L’hérésie et l’apostasie se manifestent tant par des paroles que par des actions

Parmi ceux qui ne font pas partie de l'Église catholique, combien manifestent-ils qu'ils ne sont pas catholiques en publiant des déclarations écrites ou en prononçant des discours annonçant qu'ils ne sont pas catholiques ? La réponse, c’est qu’il n’y a que très peu. La plupart des hérésies et d’apostasies se manifestent par des actions et non par des paroles. Les gens manifestent leur hérésie et leur apostasie en fréquentant la synagogue ou en adorant à la mosquée ou en se joignant aux protestants dans leur culte dans leurs églises.

St. Thomas d'Aquin, Somme Théologique, Pt. I-2, q. 103, art.4 : « Il faut répondre que toutes les cérémonies sont des manifestations de la foi, dans laquelle consiste le culte intérieur de Dieu. Or, l’homme peut manifester sa foi intérieure par des actes et par des paroles. Dans l’un et l’autre cas, s’il exprime une chose fausse, il pêche mortellement. »[4]

Lors donc que Jean-Paul II, Benoit XVI et maintenant François (avec des membres de haut rang de la secte Vatican II) fréquentent la mosquée, le temple bouddhiste, le temple luthérien et la synagogue, ils manifestent leur apostasie par leurs actes. C’est par leurs actes qu'ils manifestent leur acceptation de ces fausses religions et que ces personnes n'ont pas besoin de devenir catholiques pour être sauvées. Lorsque Benoît XVI est entré dans la synagogue et a pris une part active à un culte juif le 19 août 2005, il manifestait son apostasie (son acceptation de la fausse religion juive) par son acte. C'est pourquoi saint Thomas d'Aquin a enseigné que si quelqu'un vénérait le sépulcre de Mahomet, il serait réputé apostat. Une telle action à elle seule montrerait qu'il n'a pas la foi catholique et qu'il accepte la fausse religion islamique.

St. Thomas d'Aquin, Somme Théologique, Pt. 2, q. 12, art. 1, obj. 2 : « Et si quelqu'un... vénérait le sépulcre de Mahomet, il serait réputé apostat. »

L'antipape Jean Paul II qui embrasse le Coran

Jean-Paul II a fait ce qui équivaut à la vénération du sépulcre de Mahomet lorsqu’il a embrassé le Coran blasphématoire, lorsqu’il a si fréquemment loué l’islam et ses leaders et lorsqu’il assistait à la mosquée. Imaginez ce que diraient les saints catholiques à propos de la secte Vatican II et de Jean-Paul II. Ils dénonceraient complètement Jean-Paul II et la secte Vatican II comme complètement apostats, simplement pour leur enseignement et leurs actions vis-à-vis de la fausse religion de l'Islam :

St François Xavier, mai 1546 : « C’est de la Mecque, ville d’Arabie, où l’on garde l’exécrable carcasse de Mahomet, que sortirent des cacis ou prêtres musulmans, pour apporter enc es contrées leur infame doctrine [de l’islam]… »[5]

St François d’Assise (vers 1210) : [Aux musulmans] « Nous sommes venus pour vous préchêr la foi en Jésus-Christ, afin que vous renonciez à Mahomet, ce méchant esclave du diable, et que vous obteniez la vie éternelle comme nous. »

 

La secte Vatican II à propos des hérétiques

Avec ses enseignements et actions vis-à-vis des sectes hérétiques, tel que des sectes protestantes, la secte Vatican II se moque également des saints et martyrs et rejette tout à fait la foi catholique. Parce que Marguerite Clitherow refusait d’accepter la secte anglicane et sa « Messe » – mais qu’au lieu de cela, contre les lois pénales, elle invitait des prêtres catholiques chez-elle, elle fut martyrisée en se faisant réduire en bouille sous une large porte, alourdie par des poids. Ce type d’exécution est si douloureux qu’il est appelé « peine forte et dure. » Elle souffrit tout ça parce qu’elle ne voulait pas accepter l’anglicanisme. Par contre, la secte Vatican II enseigne que les anglicans sont des camarades « chrétiens » qui n’ont pas besoin de conversion ; et que leurs « évêques, » invalides, sont en fait de vrais évêques de l’Église du Christ. La secte Vatican II enseigne que son martyre n’avait pas de sens.

Nous voyons ici Jean-Paul II, se moquant de tous les saints et martyrs catholiques, tels que Marguerite Clitherow, soutenir la secte anglicane en embrassant l’anneau de son leader non catholique, Rowan Williams. Jean-Paul II a aussi envoyé un cadeau à Williams : une croix pectorale et un télégramme d'approbation !  La croix pectorale est un symbole catholique traditionnel de l'autorité épiscopale. En la conférant à l’apostat Rowan Williams, Jean-Paul II indique qu’il considère Williams, un laic qui pretend être un évêque, comme un évêque validement consacré ayant une autorité épiscopale, même si le pape Léon XIII a infailliblement déclaré que les ordres anglicans sont invalides dans Apostolicae curae. Cette action de Jean-Paul II vis-à-vis de Rowan Williams illustre parfaitement une action qui manifeste l’hérésie : elle manifeste que Jean-Paul II considère la secte anglicane et ses leaders comme de vrais chrétiens et évêques valides. Marguerite Clitherow et tous les saints catholiques dénonceraient Jean-Paul II et la secte Vatican II comme hérétiques manifestes, qui ne sont pas du tout catholiques et sont entièrement maux.

 

La secte Vatican II à propos des schismatiques

Les schismatiques « orthodoxes » rejettent le dogme de la papauté, l'infaillibilité papale et les treize derniers conciles dogmatiques de l'Église catholique. Mais la secte Vatican II enseigne que les « orthodoxes » orientaux n’ont pas besoin de croire en la papauté et d’accepter la foi catholique pour le salut. La secte Vatican II a émis la Declaration Balamand officielle avec les « orthodoxes » ci-dessous, qui a déclaré qu’ils n’ont aucune obligation de se convertir à la foi catholique pour le salut. Elle a été approuvée par Jean-Paul II qui a fréquemment enseigné la même chose.

La Déclaration Balamand de la secte Vatican II avec les « orthodoxes », n° 14-15, 1993 :

« ... Selon les paroles du Pape Jean-Paul II, l’effort œcuménique des Églises sœurs d’Orient et d’Occident, fondé dans le dialogue et la prière, recherche une communion parfaite et totale qui ne soit ni absorption ni fusion, mais rencontre dans la vérité et l’amour (cf. Slavorum Apostoli, n. 27)... 15. Restant ferme l’inviolable liberté des personnes et l’obligation universelle de suivre les exigences de la conscience, dans l’effort pour rétablir l’unité il ne s’agit pas de rechercher la conversion des personnes d’une Église à l’autre pour assurer leur salut... »

Cette declaration a affirmé avec audace que les schismatiques n’ont pas besoin d’accepter la foi catholique ! Et ci-dessous nous voyons Jean-Paul II s’asseoir sur une chaire à niveau égal avec le « patriarche » schismatique Téoctiste. Cette action veut indiquer que la position schismatique selon laquelle tous les évêques sont égaux dans l’Église et que l’évêque de Rome ne possède pas de jurisdiction universelle est acceptée par Jean-Paul II. Ci-dessous nous voyons également Jean-Paul II signer la declaration de foi en commun avec Téoctiste, dans laquelle ils ont tous les deux dénoncé la tentative de faire convertir l’un l’autre. Cela ne pourrait pas être plus formellement hérétique ou schismatique. C'est un rejet total de l'enseignement dogmatique de Vatican I sur la nécessité d'accepter la papauté pour le salut, et un rejet audacieux du dogme Hors de l'Église pas de salut. (Benoît XVI enseigne la même chose que la Déclaration Balamand et Jean-Paul II, comme on peut le voir dans le dossier des hérésies de Benoît XVI.)

Plus d'informations sur tous ces sujets sont disponibles dans les articles sur notre site Web, dans nos livres et DVD, etc. Mais cette petite introduction est destinée à montrer que la secte Vatican II, cette secte pseudo-catholique, est anti catholique, totalement hérétique et apostate. Ce n'est pas l'Église catholique ; c'est plutôt la secte « catholique » de contrefaçon des derniers jours. Ceux qui défendent Vatican II et les « papes » post-conciliaires pensent en réalité qu'ils défendent la foi catholique, mais ils se trompent. Ils défendent une secte complètement non catholique (et antéchrist) et, ce faisant, ils attaquent la foi catholique et deviennent ses ennemis. Ils attaquent la papauté et tous les dogmes en défendant une secte qui se moque de la papauté et de tous les dogmes de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Ils sont utilisés par le Diable s'ils défendent obstinément cette secte face à ces faits, et périront pour toujours à moins qu'ils ne se réveillent et ne se convertissent. Ceux qui voient ces faits et qui disent que les antipapes de Vatican II ont tort de faire ces choses, mais pas hérétiques manifestes (comme le font les faux traditionalistes) ne comprennent pas l'enseignement catholique à propos de l'hérésie et l'union surnaturelle qui nécessite de garder la vraie foi pour faire partie de l'Église.

 

Les fruits de la religion Vatican II

On a traité des fruits de la religion Vatican II dans les sections de notre livre sur les statistiques, l’annulation, les ordres religieux, les scandales sexuels, les universités « catholiques », les scandales des politiciens pro-avortement, etc. Nous vous recommandons de consulter ces sections. Elles démontrent que la secte Vatican II n’est pas l’Église catholique. Comme indiqué ci-dessus, des diocèses entiers ont été liquidés pour payer les « prêtres » pervertis de la secte Vatican II. Tout cela est également couvert dans notre livre, La vérité sur ce qui est réellement arrivé à l'Église catholique après Vatican II. Des millions ont quitté l'Église, embrassé le paganisme, et presque tous ceux qui prétendent être « catholiques » sont dans l'hérésie, l'apostasie ou n'ont pas la moindre idée en quoi consiste la foi catholique. La religion Vatican II est une religion humaine insipide, apostate, vide et mondaine.

Voici une image des jeunes à la Journée Mondiale de la Jeunesse en Allemagne (août 2015). Ils adorent effectivement Benoît XVI, tout comme les gens adorent une rock star lors d’un concert de rock. Elle saisit la réalité de la secte contrefaçon et non catholique de Vatican II : cette image saisit ce qu’il est advenu à « la papauté » dans la secte Vatican II. Les gens n’ont aucune idée en quoi consiste la véritable fidélité à la papauté ; il suivent plutôt (et adorent comme un Christ) l’homme qu’il croient avoir été élu pape, peu importe s’il prêche une nouvelle Évangile ou rend insignifiant Jésus-Christ, tel que le fait Benoît XVI. Peu importe si Benoit XVI a assisté à la synagogue quelques jours avant de démontrer que le Christ est insignifiant (selon lui)… ce n’est rien, ils l’adorent quand même. Ils n’ont aucune idée en quoi consiste la véritable fidélité à la papauté, à savoir la fidélité aux dogmes immuables ; ils n’ont aucune idée eux non plus que le pape et la papauté existent afin de transmettre fidèlement ce qu’ont donné Jésus-Christ et les apôtres à l’Église dans le dépôt de la foi immuable. Il ne s’agit que de l’homme, et l’homme qu’ils croient (à tort) étant le pape, qu’ils traitent comme s’il est le Christ lui-même.

 

Notes :

[1] Internet, Revue italienne Adista, Archivio, Brutto il linguaggio, ma il dialogo continua. Il card. Kasper interviene sulla ‘Dominus Iesus’ del card. Ratzinger, 26 fév. 2001 ( consultations des archives réservées aux abonnés ).

http://www.adistaonline.it/index.php?op=numero&id=113

Texte originel : « La decisione del Vaticano II alla quale il papa si attiene, è assolumente chiara : noi intendiamo l'ecumene oggi non più nel senso dell'ecumene del ritorno, secondo il quale gli altri devono “convertirsi” e diventare “cattolici.” Questo è stato espressamente abbandonato dal Vaticano II. »

[2] Site internet du Vatican, Discours du Benoît XVI, vendredi 19 août 2005.
https://www.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/speeches/2005/august/documents/hf_ben-xvi_spe_20050819_ecumenical-meeting.html

[3] Site Vatican, Jean-Paul II, Voyages, Pélerinage Jubilaire en Terre Sainte, Visite à Wadi Al-Kharrar: Prière du Saint Père, 21 mars 2000, ve. français, n° fin.

http://www.vatican.va/holy_father/john_paul_ii/travels/documents/hf_jp-ii_spe_20000321_wadi-al-kharrar_fr.html

L’ Osservatore Romano, Éd. anglais, 29 mars 2000, p. 2.

[4] St. Thomas d’Aquin, Somme Théologique, Pt. I-II, Q. 103, La durée des préceptes cérémoniels, art. 4, réponse, Éditions du Cerf, Paris, 2003, T. 2, p. 694.

[5] Lettres de S. François Xavier, traduites sur l’édition Latine de Bologne de 1795, T. Ier, Lyon chez Perisse Frères, Impr.-Libraires, MDCCCXXVIII, p. 242.