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« L'orthodoxie » orientale : son erreur fatale sur les évêques et les conciles œcuméniques
Puisque les soit-disant orthodoxes orientaux rejettent la papauté, ils considèrent que tous les évêques ont la même autorité. Ils croient que certains évêques ont une place ou un honneur particulier du point de vue de l’organisation ecclésiastique, mais ils considèrent que tous les évêques sont fondamentalement égaux en termes d’autorité et de soi-disant droit divin, comme l’évêque métropolitain orthodoxe oriental Timothy Ware l’a déclaré dans son livre, L’Église orthodoxe, qui est parfois utilisé comme un catéchisme orthodoxe :
Il a également déclaré :
Leur position contredit l’institution de la papauté par le Christ sur saint Pierre, dans laquelle le Christ a donné à saint Pierre et à ses successeurs une primauté de juridiction sur tout le troupeau du Christ, comme le prouve clairement la Sainte Ecriture. Voyez Matthieu 16:18-19 et Jean 21:15-17.
L’ecclésiologie incohérente des orthodoxes orientaux réfute davantage leur religion, et les rend incapables de déterminer où commence le territoire ou la juridiction d’un évêque et où se termine la juridiction d’un autre évêque.
Ce problème s’est manifesté en 2018 avec la rupture majeure et historique de la communion entre la secte orthodoxe russe et la secte orthodoxe grecque. Ils n’ont aucun moyen cohérent de résoudre le conflit des soi-disant clers ukrainiens, car ils estiment que tous les évêques ont la même autorité.
Avec leur ecclésiologie fausse et non biblique, ils sont également incapables de différencier de façon cohérente les vrais conciles œcuméniques qui font autorité, des faux, puisque de nombreux faux conciles dans l’histoire de l’Église ont été approuvés par de nombreux évêques.
Si tous les évêques avaient la même autorité, pourquoi certains conciles approuvés par les évêques sont-ils considérés comme infaillibles et faisant autorité, alors que d’autres ne le sont pas ? Ils n’ont pas de réponse cohérente à cette question.
En réalité, voici l’évêque orthodoxe oriental Timothy Ware qui explique pourquoi ils ne peuvent pas déterminer si un concile est œcuménique en se basant sur le nombre d’évêques :
Cependant, en ce qui concerne les conciles œcuméniques, de nombreux orthodoxes orientaux vous diront que la participation et/ou l’acceptation d’un concile, par les cinq sièges patriarcaux, c’est-à-dire Rome, Constantinople, Alexandrie, Antioche et Jérusalem, est important pour savoir si un concile est œcuménique et par conséquent définitif et infaillible dans ses décrets sur la foi. Ceci est lié à ce qu’ils appelent la doctrine de la pentarchie.
Le théologien orthodoxe oriental John Meyendorff dit ceci, à propos de la Pentarchie :
Eh bien, considérez ceci. Le Concile de Florence au 15ème siècle était un Concile de réunion majeur qui a réconcilié beaucoup d’Orientaux avec l’Église. La bulle d’union avec les Grecs du 6 juillet 1439 au concile de Florence, qui enseignait le filioque et la primauté de la juridiction papale, a été approuvée et acceptée par les représentants des cinq sièges patriarcaux.
Le patriarche de Constantinople nommé Joseph II était présent au concile de Florence. Il était en faveur de l’union avec le Pape et l’Église catholique, et il mourut pendant le Concile. Avant sa mort, il a rédigea une déclaration affirmant qu’il se soumettait à l’enseignement du Pape et de l’Église catholique.
La bulle d’union de Florence avec les Grecs a également été approuvée par ses successeurs en tant que patriarches de Constantinople, c’est-à-dire Métrophane II et Grégoire III.
De plus, à Florence, les diacres de l’église principale à Constantinople, qui servaient en quelque sorte de conseillers au patriarche, signèrent la bulle d’union. La bulle de Florence a également été acceptée par les représentants de ceux qu’ils considéraient comme les patriarches d’Alexandrie, d’Antioche et de Jérusalem. Le Pape, évêque de Rome, l’a bien sûr acceptée.
La Bulle a également été acceptée par Isidore de Kiev, le métropolitain de Russie, qui était aussi procureur du patriarche d’Antioche. Isidore accepta le Filioque et la papauté à Florence, et devint un fervent partisan de l’union.
La Bulle a aussi été acceptée par l’empereur byzantin de l’époque, Jean VIII, et bien d’autres, tout comme les empereurs ont joué un rôle dans l’organisation des premiers conciles.
En réalité, la bulle d’union avec les Grecs a été signée par toute la délégation grecque à l’exception de Marc d’Éphèse. Le refus de cet évêque d’accepter un concile œcuménique n’a aucune incidence sur l’œcuménicité du concile. Si c’était le cas, alors les sept premiers conciles, qui sont considérés par les orthodoxes orientaux comme œcuméniques, ne le seraient pas du tout, car ils n’ont pas tous été acceptés par tous les évêques. À titre d’exemple, deux évêques qui étaient présents au concile de Nicée ont refusé d’accepter et de signer son décret.
Ainsi, en appliquant leurs propres critères, le rejet, par les orthodoxes orientaux, de la bulle d’union avec les Grecs du concile oecuménique de Florence de 1439, n’est absolument pas fondé. Rejeter ce concile oecuménique, les obligerait logiquement à soutenir qu’il n’y a jamais eu de véritable concile œcuménique dans l’histoire de l’Église.
Comme l’historien non catholique Sergey Dezhnyuk l’a déclaré à propos du Concile de Florence :
L’empereur byzantin de l’époque, Jean VIII, a également déclaré :
Même Marc d’Éphèse, l’hérétique obstiné et le seul membre de la délégation grecque qui a refusé de signer la bulle d’union, a reconnu, à Florence, que le concile était véritablement œcuménique.
Joseph Gill est probablement l’historien prééminent du concile de Florence. Il a souligné que lors d’une rencontre avec le pape et quelques autres à Florence :
Par conséquent, selon leurs propres standards, les soit-disant orthodoxes orientaux devraient accepter la bulle d’union de juillet 1439 de Florence avec les Grecs comme l’acte infaillible d’un concile œcuménique, et son enseignement comme la voix de la véritable Église du Christ.
Dans la bulle de juillet 1439, le Filioque et la juridiction suprême du Pape sur l’Église ont été proclamés comme des vérités de la foi. Donc, si vous êtes orthodoxe oriental et si vous pensez que le Filioque et la primauté de la juridiction papale sont de fausses doctrines, alors logiquement, selon vos principes, vous devriez conclure que votre soi-disant Église a fait défection de la vraie foi au concile de Florence en 1439 en acceptant le Filioque et la primauté papale.
Voici ce que l’évêque métropolitain soi-disant orthodoxe oriental Timothy Ware admet dans son livre :
Dans sa Providence, Dieu a permis que le concile de Florence soit si bien représenté, et que la bulle de juillet 1439 remplisse les critères d’un concile oecuménique propre aux orthodoxes orientaux, pour donner à ceux qui étaient à l’Orient une autre chance, et peut-être la dernière chance, de reconnaître la vraie foi du Christ et se soumettre à la véritable autorité de l’Église.
Ce fut un véritable concile œcuménique de l’Église du Christ. A Florence, les cinq sièges, qu’ils considéraient comme la Pentarchie, acceptèrent providentiellement la vraie foi. Après le Concile, il y avait même des célébrations de l’union dans un certain nombre de régions.
Pourtant, lorsque beaucoup sont rentrés chez eux, après la signature du décret de Florence, ils ont fait face à une résistance farouche en divers endroits, et l’union n’a pas obtenu les effets durables espérés. Le fait que la bulle d’union de Florence avec les Grecs, qui enseigne le Filioque et affirme la primauté de juridiction d’un pape et remplit les critères d’un concile oecumémique propres aux orthodoxes orientaux, prouve une fois de plus que l’orthodoxie orientale est une fausse religion et que le catholicisme est la vraie foi du Christ. Si les orthodoxes rejettent la bulle de Florence, ils rejettent l’enseignement d’un concile œcuménique, qu’ils considèrent comme infaillible. Ils sont réfutés par leurs propres principes.
Face à de tels faits, certains adeptes de l’orthodoxie orientale pourraient avoir recours à la théorie de la réception. C’est une vision des conciles œcuméniques qui a été promue par un théologien orthodoxe oriental au 19ème siècle.
Puisqu’ils se sont rendu compte qu’ils ne pouvaient pas déterminer si un concile est œcuménique sur la base d’une norme objective qu’ils sont prêts à accepter, comme le nombre d’évêques ou la répartition géographique des évêques, etc., les adeptes de la théorie de la réception prétendent qu’un concile ne peut être considérée comme œcuménique que s’il a été « reçu » par la conscience des fidèles ou le corps de toute l’Église.
Bien sûr, ils sont incapables de définir ce que signifie être reçu par la conscience des fidèles ou le corps de toute l’Église. Comme cela devrait être évident, la théorie de la réception est fallacieuse et hérétique. Premièrement, les sept premiers conciles, qu’ils considèrent comme œcuméniques, n’ont pas été reçus par tous ceux qui prétendaient faire partie de l’Église. Ce fait à lui seul réfute la théorie de la réception.
Deuxièmement, la théorie de la réception nie l’autorité qu’a donnée le Christ à l’Église d’enseigner en Son Nom de manière définitive et infaillible, à des moments précis, d’une manière qui exigerait l’assentiment des fidèles. Car, selon la théorie de la réception, lorsqu’un concile proclame quelque chose, même avec un anathème, cela ne doit être considéré comme définitif ou forcément vrai que jusqu’à ce que, peut-être des décennies ou un siècle plus tard, un groupe indéfini de personnes choisisse de le recevoir.
[Ware :] « Et il n’y a pas de limite de temps spécifique pour cette reconnaissance. Il peut y avoir une période d’incertitude plus ou moins prolongée. »
Ainsi, la théorie de la réception soumettrait, en pratique, les déclarations de chaque concile à un groupe indéfini de personnes, y compris des laïcs. Cela rendrait nul et inutile l’autorité même qu’a donnée le Christ aux autorités de l’Église, en vue d’enseigner aux fidèles d’une manière qui exige leur assentiment.
La théorie de la réception est clairement hérétique. En plus des erreurs funestes et évidentes de ce dont nous avons parlé au sujet de cette théorie, il n’y a pas non plus de soutien à cette idée dans l’enseignement d’aucun des conciles œcuméniques.
[Ware :] « Il n’y a pas de décret doctrinal… il n’y a pas de canon… qui se réfère à cet acte de réception ultérieure. Aucune déclaration spécifique provenant des participants d’un concile oecuménique, faisant allusion à une attente de confirmation par la réception ultérieure de la part de l’église dans son ensemble, n’a été trouvée. »
Par conséquent, il doit y avoir, et il y a, une norme objective par laquelle les fidèles peuvent reconnaître que l’Église enseigne avec l’autorité du Christ. Les catholiques savent que’elle est liée à la fonction papale. Mais peu importe la manière dont les orthodoxes orientaux essaient de se justifier en ce qui concerne les conciles œcuméniques, par exemple s’ils évoquent la Pentarchie ou autre chose, ils ne peuvent pas être cohérents et rejeter le fait que Florence était un concile œcuménique.
En effet, un autre exemple de la façon dont l’Orient a accepté le décret de Florence se trouve dans ce qui s’est passé le 12 décembre 1452. Ce jour-là, le décret d’union de Florence qui avait été préalablement signé, a été proclamé au cours d’une liturgie, dans l’église principale de Constantinople, Sainte-Sophie, en présence de l’empereur, de nombreux prêtres et de nombreuses personnes. Au cours de cette liturgie, ils ont prié pour le pape et le patriarche pro-union de Constantinople.
Néanmoins, bien que l’union ait été signée et finalisée à Florence, il y avait tout au long de cette période une résistance parmi de nombreux habitants de Constantinople et d’autres endroits de l’Orient. Elle est devenue si intense que les patriarches pro-union de Constantinople ont parfois dû s’absenter de leur église d’origine, Sainte-Sophie.
Beaucoup en Orient et à Constantinople étaient en rébellion contre ce que l’Église universelle, sous le pape, avait officiellement proclamé à Florence. Cette rébellion parmi le peuple, cette résistance contre l’acte de l’Église de Dieu, est la raison pour laquelle Dieu a permis à Constantinople de tomber dans les ténèbres de la domination islamique peu de temps après que cette résistance se soit manifestée.
Par conséquent, ce n’est pas une coïncidence, à notre avis, si peu après la rebellion de tant d’habitants de l’Orient contre l’union qui a été réalisée et proclamée à Florence, une union qui a été officiellement approuvée par les représentants des cinq sièges patriarcaux de ce qu’ils considéraient comme la Pentarchie, Dieu a permis que le principal centre du pouvoir ecclésiastique en Orient, Constantinople, tombe dans les mains des musulmans et sous la domination de l’Islam.
Après la chute de Constantinople au XVe siècle, le perfide sultan islamique a imposé de sévères restrictions aux Grecs schismatiques de la région.
C’était le châtiment pour leur rébellion. Les Grecs schismatiques étaient maintenant une secte contrôlée par les infidèles, tout comme l’Église orthodoxe russe schismatique était souvent contrôlée par les communistes au 20e siècle.
Il est également très intéressant qu’après que les musulmans se soient emparés de Constantinople, ils ont choisi George Scholarius comme le « patriarche de Constantinople » pour la secte schismatique.
Scholarius était l’un des représentants les plus importants de la délégation grecque au concile de Florence, où il est convaincu de la position catholique sur le Filioque et de la primauté de la juridiction papale. Il a signé la bulle d’union et a reconnu que Florence était un véritable concile œcuménique.
Cependant, quelque temps après le Concile, en proie au plaidoyer de Marc d’Éphèse sur son lit de mort, Scholarius tombe dans l’hérésie. Il convenait donc qu’après la prise de Constantinople par les musulmans, les infidèles choisissent un incroyant impie comme Scholarius pour être le pseudo « patriarche de Constantinople » de la secte schismatique grecque de la région.
Dans l’histoire chrétienne, tous les principaux sièges patriarcaux que les orthodoxes orientaux considéraient comme faisant partie de la Pentarchie mais qui se sont rebellés contre la papauté, c’est-à-dire Alexandrie, Antioche, Jérusalem et Constantinople, sont tombés sous le joug de l’islam.
Est-ce une simple coïncidence ? Non, c’était un châtiment pour punir leur séparation de la véritable Église et pour leur rejet de la papauté, que le Christ a établie sur saint Pierre.
Dans Sa Providence, Dieu a permis aux quatre autres villes de tomber sous le joug de l’islam, la ville de Rome étant épargnée au moins jusqu’aux derniers jours, pour manifester que la Chaire de Pierre à Rome, a joui, tout au long de l’histoire de l’Église, d’une autorité unique et d’une protection spéciale qui n’était pas partagé par les autres sièges.
En effet, il est fascinant de constater que la prise de Constantinople par les musulmans a eu lieu le 29 mai 1453, la fête de la Pentecôte, qui commémore la venue du Saint-Esprit.
Pensez-vous que ce ne soit qu’une coïncidence ? Eh bien non. Dieu a permis à Constantinople de tomber entre les mains des musulmans le jour de la fête du Saint-Esprit, comme un signe et un châtiment contre la résistance du peuple au Filioque, la vraie doctrine de l’Église du Christ sur le Saint-Esprit, et leur résistance à d’autres vérités qui ont été formellement proclamées lors d’un concile qui doit être considéré comme œcuménique même selon leurs propres critères.
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praise be the Lord Jesus Christ, all honor and glory be to His holy mother,Mary.
plaquemine 7 moisLire plus...Absolument De plus il est écrit beaucoup chercheront à entrer qui ne le pourront pas’
Derriey 7 moisLire plus...GLOIRE A DIEU METTONS NOUS A LA DISPOSITION DE JESUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR. AGISSONS, obéissons lui. Combattons sous ses ordres avec obéissance. Amen
MICHEL 8 moisLire plus...Nous réfutons votre objection dans notre livre, Hors de l'Église catholique il n'y a absolument pas de salut : https://vaticancatholique.com/catechisme-saint-pie-x-bapteme-de-desir/
Monastère de la Très Sainte Famille 8 moisLire plus...bonjour vous dites un peu partout sur votre site que le dogme du baptême de désir n'est pas catholique, pourtant il est dans le catéchisme de Saint Pie X
TD 8 moisLire plus...Magnifique ! Merci !
Émilie 10 moisLire plus...Merci infiniment de mettre ce calendrier Liturgique à disposition ! Un bon repère, même pour ceux qui, hélas, n'ont pas la possibilité de participer à la Liturgie traditionnelle... Merci également...
smsc 11 moisLire plus...Bonjour, et merci ! C'est une immonde imposture, ils recevront le digne salaire de leurs œuvres les enfants de Belial qui ont fait cela !
Frédéric 12 moisLire plus...bien dit, les MHFM, je suis entièrement d'accord avec vous.
Marcel 1 anLire plus...Merci infiniment pour votre investigation, j'ai aussi eu la même sensation, que cette Sœur Lucie n'était pas la vraie, et cette grande différence en regardant les photos, il faut être...
Rose 1 anLire plus...