L’état déplorable des universités « catholiques »

Toute université soi-disant catholique en communion avec François est submergée d’hérésie et d'indifférentisme, et/ou de promotion du programme gay, et/ou d’attaques contre les Écritures Sacrées, et/ou d’attaques contre l’historicité de Notre-Seigneur. Des diplômes honorifiques sont fréquemment donnés aux pro-avortements. Les pro-avortements sont souvent autorisés à tenir des conférences dans ces universités prétendument catholiques, où abondent les scandales les plus infâmes. Nous ne ferons que parcourir certains exemples d’hérésie, d’apostasie et d’immoralité caractérisant les universités « catholiques. » On pourrait écrire un livre entier rempli d’exemples de ce que l’on s’apprête à voir...

En 2004, vingt-neuf universités soi-disant catholiques montrèrent l’abominable pièce de théâtre Les Monologues du Vagin. [1] En février 2005, vingt-sept avaient déjà montré la pièce. [2] Les gens doivent se rendre compte du niveau d'apostasie que révèle un tel fait ; cet outrage s’est vraiment déroulé dans des campus soi-disant catholiques, où se trouvent des membres du clergé en position d'autorité ! Dans la même année, au moins 16 universités « catholiques » avaient invité des conférenciers pro-avortement. En mai 2005, l’université « catholique » américaine, Marymount Manhattan, invita comme conférencière Hillary Clinton. [3] Celle-ci put s’exprimer dans d'autres universités prétendument catholiques de ce pays, y compris l’université Canisius de Buffalo, dans l’État de New-York. [4]} Les conférenciers non-catholiques et pro-avortements sont si courants dans les universités « catholiques, » que ce serait un énorme travail d’en faire l’inventaire.

L’Université Loyola de Chicago, c’est-à-dire la « Chicago’s Jesuit University, » a accueilli Kyan Douglas, l'acteur homosexuel de Queer Eye for the Straight Guy (Œil de folle pour Hétéro), avec un lien et une image bien visible sur son site internet. [5]} La même université favorise ouvertement le lesbianisme et l’homosexualité. [6]}

Une « étude réalisée par l'Université de Californie-Los Angeles a montré que les idées morales des étudiants catholiques étaient plus fragiles que solides, et ce après quatre années passées sur le campus d’une université “catholique.” Sur les 38 universités catholiques interrogées, 37,9% des étudiants catholiques de première année déclaraient en 1997 que l'avortement devrait être légalisé. Quatre ans plus tard, chez ceux en fin d’études, 51,7% soutenaient l'avortement légalisé. » [7]

L'école américaine qui tire son nom de Marie – University of Notre Dame - a par deux fois présenté un festival du Film Gay. Son chef de théologie, le « père » Richard McBrien, nie les dogmes catholiques les plus élémentaires.

L’université soi-disant jésuite de San Francisco offre des avantages aux couples homosexuels. [8]

L’université de Santa Clara en Californie, une institution « jésuite, » présenta en février 2004 deux orateurs du Centre national des droits lesbiens, afin de promouvoir les questions juridiques pouvant toucher les partenaires homosexuels. [9]

La plus grande université « catholique » d’Amérique, DePaul University, offre des cours sur les « études gay. » [10]

La Catholic University of America, (CUA) comme toutes les grandes universités soi-disant catholiques, est en proie à l'hérésie et à l’apostasie. Le 26 avril 2006, la CUA a organisa un déjeuner interreligieux. « Près de cent invités, représentant les groupes de foi catholique romain, orthodoxe oriental/chrétien oriental, protestant, juif, musulman et d’orient, ont participé à un déjeuner organisé par le révérend David M. O'Connell, C.M., président de l'Université catholique. Dans son allocution de bienvenue à l’assemblée, le père O'Connell a exprimé l’idée que la religion a toujours joué un rôle important dans le développement des cultures mondiales. » [11] Comme si leur fausses religions diaboliques étaient un aspect positif et voulu par Dieu pour l’établissement des cultures !

Le « père » O'Connell les encourageait aussi dans leurs propres prières, commémorait l’esprit d'Assise, et s’était « uni dans la prière » avec les infidèles, les païens et les hérétiques. Nous connaissons quelqu’un qui était à la CUA, et il nous a dit que c’est l’endroit le plus vicelard où il ait jamais été : l'esprit d’apostasie de la vraie foi dans un endroit prétendant la représenter était une forme si unique et profonde de satanisme que quiconque pouvait le ressentir.

L’Université « catholique » de Seton Hall est une maison d’accueil pour personnes de toutes religions. Son site officiel déclare ceci : « Que vous soyez à la recherche d'une synagogue de proximité, d’un groupe musulman pour vous joindre aux prières du vendredi, ou d'une étude biblique inter-religieuse, le Ministère du Campus [de Seton Hall] vous fera prendre contact avec des étudiants partageant vos convictions. » [12] Encourager les gens à pratiquer le judaïsme, l’islam, etc. est une apostasie totale.

Seton Hall a également donné le prix Sandra Day O'Connor Award au juge pro-avortement Maryanne Trump Barry. Sandra Day O'Connor, qui est elle-même pro-avortement et qui fut le vote clé dans l’annulation des lois anti-avortement dans près de trente états, a remis le prix qui porte son nom au juge pro-avortement ayant annulé la loi du New Jersey contre l'avortement des naissances partielles. [13] Il y a seulement deux mots pour cela : démence et apostasie.

L’université « catholique » Marquette favorise l'apostasie interreligieuse. Un exemple parmi d’autres : son site internet précise que « le ministère de l’Université tiendra une prière interreligieuse pour la paix... Veuillez-vous joindre à nous pour entendre l'appel des chefs religieux de diverses traditions et dénominations, tandis qu’ils unissent leurs voix dans la prière pour une résolution pacifique à l’éventualité d’une guerre en Irak. » [14]

L’université « catholique » Duquesne met particulièrement en avant son apostasie. Son site internet va jusqu’à dresser une liste comportant les adresses des églises et des temples locaux non-catholiques de telle sorte que les étudiants puissent aller y rendre culte. Cette liste comprend les églises protestantes et schismatiques, les synagogues, les mosquées et le temple hindouiste Jaïn ! On est très loin de l’université « catholique » dédiée à la seule vraie foi !

« L’office du Spiritan Campus Ministry a compilé cette liste pour tous les étudiants afin qu'ils puissent pratiquer leur foi tout en étant scolarisés. Si aucun horaire n’est mentionné, un numéro de téléphone est inscrit pour prendre contact et se renseigner. Les lieux marqués d’une étoile (*) sont accessibles à pied. Duquesne est un campus urbain avec de nombreuses églises et autres lieux de culte de proximité. Nous serons heureux de vous aider à trouver celui qui convient à vos besoins. » [15]

L’université « catholique » américaine Xavier University, dans l'Ohio, encourage ouvertement les gens à pratiquer des religions non-catholiques. Elle « offre des possibilités au développement cultuel et spirituel pour ceux de toutes traditions religieuses. Des informations concernant des communautés religieuses locales protestantes, juives et autres, sont disponibles à l’office du campus universitaire. » [16] C’est une apostasie totale.

L’Université soi-disant jésuite de Georgetown propose un cours intitulé Problem of God (Problème de Dieu). Le but du cours est de parvenir à une acceptation de toutes les religions.

« Les étudiants [non-catholiques] admettent avoir été sceptiques en apprenant pour la première fois que le cours faisait partie de leur cursus. Lorsque Kholoud a dit à sa famille qu’elle participerait au cours appelé Problème de Dieu, enseigné par un prêtre catholique, ils se sont demandés si elle se convertirait.

« “Il n'est pas là pour faire ça” dit Kholoud en parlant de Maher. “Il est là pour parler de la foi. Mon idée est différente de la sienne, mais il nous aide à développer une acceptation des autres religions.” Maher avait aussi aidé à dissiper de telles craintes [qu'il voulait convertir quelqu'un] durant la première semaine de cours, quand il déclara sur un ton neutre : “Je suis sûr que les gens vont se demander, “Est-ce que le père Maher veut nous convertir ?” ... Bien sûr que la réponse est oui. Je veux convertir chacun d'entre nous, d'une compréhension et d’un saisissement infantiles de notre foi, vers une compréhension et un saisissement adultes de notre foi.” » [17]

Donc, le pseudo prêtre enseignant à l’université soi-disant catholique de Georgetown admet ne pas vouloir convertir les gens à la foi catholique, mais plutôt de vouloir les « convertir » à une compréhension plus profonde de leur foi propre, quelle qu'elle soit. Le but de son cours « Problème de Dieu, » est de parvenir à une acceptation de toutes les religions. C'est une apostasie totale.

Lors du vingtième anniversaire de la réunion interreligieuse de prière organisée par Jean-Paul II à Assise, de nombreuses universités soi-disant catholiques organisèrent de petites réunions du même genre pour commémorer l'événement.

L’université « catholique » de Georgetown a organisé l’International prayer for Peace 2006 : A meeting of peoples and religions in the Spirit of Assisi (Prière Internationale pour la Paix 2006 : Une réunion des peuples et des religions dans l'Esprit d’Assise).[19] Georgetown offre également des programmes religieux pour la promotion du judaïsme, de l'islam, du protestantisme et de l' « orthodoxie » orientale.

« En plus de vastes services de cultes offerts par des traditions religieuses spécifiques, l’Office Ministériel du Campus offre des possibilités pour la prière et le dialogue interreligieux tout au long de l'année scolaire. Ces événements incluent les dialogues interreligieux, la méditation interreligieux, le Hallelujah Shabbat, le Seder interreligieux et une exposition d'art interreligieux. » [20]

Cela signifie que Georgetown promeut directement la pratique du Judaïsme sur son site Internet.

« Des cultes protestant, juif et musulman se déroulent sur le campus [de Georgetown] dans des cérémonies organisées par l’Office ministériel du campus et par des groupes étudiants. Se trouvent également sur le campus, études bibliques, retraites quotidiennes et trois services religieux le dimanche dans la tradition protestante. Les aumôniers juifs et l'Association des étudiants juifs organisent chaque vendredi un dîner Shabbat. Une salle de prière musulmane à Copley Hall est utilisée pour la prière islamique et le culte quotidien ; et chaque vendredi se tient une grande cérémonie de culte communautaire musulman. Les mardis soirs, une cérémonie de prière orthodoxe a lieu à Copley Crypt. » [21]

L’université soi-disant jésuite de Boston est tout autant remplie d'apostasie. Le 9 février 2005, elle organisa une séance de discussion sur le document d’août 2002 des pseudo évêques américains, Reflections on Covenant and Mission (Réflexions sur Alliance et Mission). Ce célèbre document déclarait que « ... les campagnes qui ciblent les juifs pour la conversion à la chrétienté ne sont plus acceptables théologiquement dans l'Église catholique. » Trois pseudo théologiens universitaires de Boston posèrent cette question : « Les catholiques doivent-ils chercher à convertir les juifs (si les juifs sont dans une vraie alliance avec Dieu) ? » Tous trois indiquèrent - avec leur manière moderniste de parler beaucoup pour ne rien dire – qu’il n’y a pas la moindre nécessité à ce que les juifs soient convertis. La réponse la plus claire vient du pseudo théologien de l’Université de Boston, Philip Cunningham, qui déclara :

« Si, comme le diraient certainement les chrétiens, la naissance de l'Église faisait partie du plan divin, alors les chrétiens doivent envisager la possibilité que le “non” [refus] de la communauté juive à l’Évangile et le développement de l'héritage rabbinique post-Temple faisaient eux-aussi partie du plan divin. » [22]

Selon l’Université soi-disant catholique de Boston, le « Non » à l'Évangile peut faire partie du plan divin...

L’université prétendument catholique la plus « prestigieuse » du monde est sans doute l'Angelicum à Rome. Elle favorise la même apostasie illustrée par toutes les autres universités soi-disant catholiques. Elle propose un cours sur l'œcuménisme qui favorise un œcuménisme s’alignant sur le Directoire pour l'application des principes et des normes sur l'œcuménisme, qui fut promulgué par Jean-Paul II. [23] Cet incroyable directoire décourage le fait de convertir les non-catholiques, promeut des services de cultes interconfessionnels, promeut le partage des églises avec des fausses religions et des sectes, etc. - comme expliqué précédemment dans ce livre.

La Grégorienne, à Rome, est une autre institution « catholique » célèbre. Eh bien, l'ancien « archevêque » anglican de Canterbury, George Carey, y enseigne l'œcuménisme. [24] Cela veut dire qu'un hérétique non-catholique - un laïc qui se fait passer pour un évêque valide - enseigne l'œcuménisme hérétique aux séminaristes et au clergé Novus Ordo. On se doute bien qu'ils n’y apprendront pas l'invalidité des ordres anglicans...

Nous pourrions continuer à décrire, sur des centaines de pages, l'apostasie, l'immoralité et le scandale de ces universités prétendument catholiques. Mais ce bref exposé suffit à se rendre compte très clairement que l'apostasie des institutions d’éducations de la secte Vatican II est universelle. Ça va de l'université locale de la secte Vatican II aux Etats-Unis, à la plus prestigieuse à Rome. C'est simplement dû au fait que toutes suivent la nouvelle religion de la secte Vatican II. Elles ne sont catholiques que de nom - comme la secte Vatican II qui les approuve.

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Notes :