Dr. Cowan : il n'existe aucune preuve de l'existence d'une particule qui cause le "Covid-19"

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« Un virus est une particule enveloppée dans un revêtement protéique contenant du matériel génétique, soit de l’ARN, soit de l’ADN. Un virus est considéré comme une chose physique.

Comment les virologues trouvent-ils un nouveau virus, dans ce cas, le SARS-CoV-2 ?

Les profanes et la plupart des prestataires médicaux supposent que les virologues prélèvent des échantillons de liquide dans le nez ou les poumons de nombreuses personnes malades présentant les mêmes symptômes et les examinent sous un microscope puissant. Ils supposent que les virologues voient en fait un virus qu’ils n’ont jamais vu auparavant dans ces échantillons.

Comment savent-ils que le virus est à l’origine de la maladie en question, en l’occurrence Covid-19 ?

La plupart des gens - encore une fois, y compris les fournisseurs de soins médicaux - supposeraient que les virologues prouvent la causalité en n’exposant rien d’autre que le virus pur à des animaux en bonne santé, de la façon dont les virus se propagent normalement.

En fait, voici ce qu’ils font, et voici ce qu’ils ont encore fait avec le SARS-CoV-2. Les virologues ont prélevé des échantillons pulmonaires guidés par bronchoscopie (liquide BAL) de personnes atteintes de pneumonie de cause inconnue. Ils ont “lavé” et filtré ce fluide pour éliminer les gros débris cellulaires, les champignons et les bactéries. Voici où les hypothèses des gens sur ce qui se passe et ce qui se passe réellement divergent : ils n’ont jamais examiné ce fluide au microscope électronique (le seul type qui peut visualiser quelque chose d’aussi petit qu’un virus). En fait, les virologues ignorent toujours l’examen de ce fluide au microscope.

Ils ont ensuite pris ce fluide soluble non purifié de la personne atteinte de pneumonie d’origine inconnue et l’ont inoculé sur des tissus prélevés sur une source animale ou humaine. Mais d’abord, ils ont ajouté une variété d’autres fluides, y compris du liquide amniotique, du sérum de cheval, du sérum fœtal bovin, qui sont tous eux-mêmes riches en protéines et en matériel génétique. Ils font cela parce que le “virus” qu’ils recherchent ne se développera pas autrement. De plus, les nutriments favorisant la croissance du tissu dans la culture ont été retirés. En d’autres termes, le tissu était affamé. Des antibiotiques, tels que la gentamicine et l’amphotéricine, ont été ajoutés à la culture, tous deux étant connus pour être toxiques pour les tissus rénaux.

Ils ont ensuite mesuré la capacité de ce mélange non purifié à lyser (ou tuer) le tissu animal ou humain dans la culture. À ce jour, le seul tissu qui a été tué (appelé effet cytopathique) provenait de cellules Vero, qui sont prélevées sur des reins de singes. Lorsque les cultures ne contenaient que des tissus d’origine humaine ou animale, peu ou pas d’effets cytopathiques ont été observés. [1]

La culture cellulaire Vero s’est en effet décomposée en millions de particules de tailles et de formes différentes. Les virologues en ont pris une photo au microscope électronique, ont vu des particules qui, selon eux, sortiraient des cellules Vero, et ils ont appelé ces particules des particules du SARS-Cov-2 isolé.

Comment savent-ils que ces particules de la culture sont les coupables ?

Voici le problème: en réalité, aucun protocole scientifique accepté ne peut distinguer une particule qui émerge à la suite de la dégradation des cellules Vero ou des autres sources de matériel génétique ajouté à la culture, avec un “virus” provenant de l’extérieur. [2]

Et ça devient pire. À ce jour, aucune particule présentant les caractéristiques ou l’apparence du SARS-CoV-2 (comme on le voit sur les micrographies électroniques) n’a été trouvée dans les résultats de cette procédure de “culture”, jusqu’à ce qu’une enzyme de digestion des protéines appelée trypsine soit ajoutée au mélange. [3] Cette enzyme digère l’enrobage protéique externe de ces particules, ce qui donne l’apparence caractéristique du pic de la protéine du présumé SARS-CoV-2.

La prochaine étape pour les virologues est de faire une analyse génétique des résultats de cette “culture virale”. Les virologues n’ont PAS et ne peuvent PAS trouver de séquence complète dans cette culture qui représenterait le génome entier d’un virus connu. Le séquençage du génome est plutôt effectué à l’intérieur d’un ordinateur, appelé génome in silico.

Dans cette culture, ils trouvent des milliards de morceaux de matériel génétique de différentes tailles. Ils coupent ces morceaux en petits morceaux, et certains sont ignorés s’ils sont supposés être d’origine humaine ou microbienne. Ces petites séquences sont “alignées” à l’intérieur de l’ordinateur, ce qui signifie qu’elles sont reconstruites en un long génome qui aurait la taille d’un génome de coronavirus déjà publié. [4]

En d’autres termes, un génome complet est séquencé sur la base de la matrice d’autres génomes in silico, garantissant ainsi que l’ordinateur “trouvera” le SARS-CoV-2 dans ce nouvel échantillon. Inévitablement, il y a une certaine divergence dans la nouvelle séquence du génome par rapport à la matrice. C’est ce qu’on appelle un variant. A aucun moment le virologue n’a trouvé la séquence complète du SARS-CoV-2 ou du variant dans le liquide BAL. Il n’existe que dans l’ordinateur.

La seule conclusion raisonnable à laquelle toute personne examinant ce processus arriverait, est qu’il n’existe aucune preuve de l’existence d’une particule réelle dans le monde réel qui cause ce qu’ils appellent le Covid-19. »

[1] Wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/6/20-0516_article

[2] Gianessi, et al Viruses 2020 May; 12(5): 571. The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV, and SARS Viruses

[3] Caly et al, Med J Aust 2020, June; 212 (10) p. 459-462 PMID 3223727. Isolation and Rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with Covid-19 in Australia.

[4] Ibid.

[1] Wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/6/20-0516_article

[2] Gianessi, et al Viruses 2020 May; 12(5): 571. The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV, and SARS Viruses

[3] Caly et al, Med J Aust 2020, June; 212 (10) p. 459-462 PMID 3223727. Isolation and Rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with Covid-19 in Australia.

[4] Ibid.