^
^
La Bible prouve la papauté | Glossaire des termes et principes | Les papes contre l'islam | L'Antéchrist Identifié ! | La vérité sur la FSSPX, la FSSPX-CM, etc. | Antipape François | La Nouvelle messe est invalide | Stupéfiantes preuves de Dieu | Actualité |
L'église « catholique » Vatican II démasquée | Étapes de conversion | Hors de l'Église catholique pas de salut | Réponses catholiques | Le Saint Rosaire | Padre Pio | Boutique en ligne | Aidez à sauver des âmes : faites un don |
La session a expiré
Veuillez vous reconnecter. La page de connexion s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre. Après connexion, vous pourrez la fermer et revenir à cette page.
Saint André, l'aîné des apôtres
Vies des Saints catholiques
du 1e siècle
« Ce n'est pas sans sujet que nous donnons à saint André cette illustre qualité d'Aîné des Apôtres, puisqu'il est le premier de ces Princes de l'Eglise qui se soit joint à Jésus-Christ, et qu'il a été comme la source de la vocation des autres. Il était, ainsi que saint Pierre, son frère puîné, de la petite ville de Bethsaïde, en Galilée. Son emploi, aussi bien que celui de son père, de son frère et de toute sa parenté, était de pêcher dans la mer de Galilée. Mais, comme il n'avait nul dessein de se marier, il se dérobait bien souvent à cette occupation pour vaquer aux exercices de piété.
Il se fit d'abord disciple de saint Jean; mais, comme la fin de ce glorieux Précurseur était de faire connaître Jésus-Christ, un jour il dit, en le montrant : Voilà l'Agneau de Dieu ! Cette parole entra bien avant dans l'esprit de notre Apôtre : de sorte que, préférant le Maître au serviteur, il le suivit avec un autre dont l'Evangile ne dit pas le nom et que les Toulousains croient avoir été saint Saturnin, leur apôtre et leur premier évêque. Notre-Seigneur, se tournant vers eux, leur dit : Qui cherchez-vous ? 0ù demeurez-vous ? — Venez, répliqua-t-il, et voyez ! Ils y vinrent et ils demeurèrent avec lui le reste du jour (car il était déjà quatre heures du soir) et toute la nuit suivante.
Ce trésor était trop précieux pour n'être possédé que d'eux seuls. André en fit part à son frère, et il l'amena même à Jésus. Depuis cette entrevue, André fréquenta toujours le Fils de Dieu ; et il était souvent à sa suite. Mais il ne laissait pas de vaquer encore à son métier de la pêche, et il y travaillait avec son frère. Mais environ quinze mois après, ce Maître céleste, passant par les bords de la mer de Galilée où ils étaient ensemble dans leur barque, jetant leurs filets à l'eau, leur dit : Venez à ma suite et je vous ferai pêcheurs d'hommes. Et à l'instant même ils quittèrent leurs filets, leur barque et leur emploi, pour ne plus mener qu'une vie apostolique. Les Évangélistes parlent encore de saint André en d'autres endroits de leur Histoire Sainte. En saint Luc, chapitre VI, il est nommé le second dans le dénombrement de tous les Apôtres et au sujet de leur élection. En saint Jean, aussi chapitre VI, lorsque Notre-Seigneur voulut donner à manger à cinq mille personnes, au delà de la mer, André lui dit : Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d'orge et deux poissons; mais qu'est-ce que cela pour tant de monde ?
Dans le même Évangéliste, chapitre XII, les Gentils s'étant adressés à Philippe pour avoir le bonheur de voir Notre-Seigneur, cet Apôtre ne les lui présenta pas lui-même; mais il en parla auparavant à saint André, et ensuite l'un et l'autre en parlèrent à leur divin Maître. De là le vénérable Bède a jugé que c'était un privilége d'André d'être l'introducteur auprès de Jésus-Christ, et qu'il avait mérité cet honneur pour lui avoir amené saint Pierre. Enfin, dans saint Marc, chapitre XIII, saint André est un des quatre Disciples qui, étonnés des prédictions de Notre-Seigneur, lui demandèrent, en particulier, quand ces choses arriveraient et quel serait le signe qu'elles s'accompliraient bientôt. Ce qui montre la grande familiarité qu'il avait avec lui.
Il n'est point nécessaire de rappeler qu'il reçut le corps et le sang de Jésus-Christ de la main même de ce divin Sauveur, qu'il fut fait prêtre et apôtre, qu'il vit Jésus ressuscité et surtout quand il monta au ciel, qu'il reçut le Saint-Esprit le jour de la Pentecôte et que cet Esprit divin parla par sa bouche. Saint André a eu sa grande part dans tout ce qui fut commun aux Apôtres. Dans le partage de toute la terre habitable que firent ces hommes célestes, en l'an 45, pour en entreprendre séparément la conquête, la portion qui échut à saint André fut ce vaste pays qui s'étend en deçà du Pont-Euxin [mer Noire] et au delà, du côté du Septentrion.
Ainsi, après avoir contribué à la composition du Symbole dont on lui attribue en particulier cet article : Et en Jésus-Christ, son Fils unique, Notre-Seigneur, il se rendit au plus tôt en Achaïe [aujourd'hui en Grèce], située entre l'Épire [aujourd'hui entre la Grèce et l'Albanie], la Macédoine et le Péloponèse, laquelle était une des frontières de son diocèse. Il donna pour évêque aux nouveaux fidèles de Patras, capitale de la province, un des soixante-douze disciples de Notre-Seigneur, nommé Hérodion, dont saint Paul parle admirablement en son Épître aux Romains, chapitre XVI. De l'Achaïe il passa dans la Scythie. L'Évangile y fit de grands progrès ; et notre Apôtre eut la consolation d'y voir ces esprits, qui semblaient indomptables, se soumettre humblement au joug de Jésus-Christ. Il se rendit de là dans l'Épire, dans la Thrace et dans la Grèce ; et ses prédications n'y eurent pas un moindre succès. Saint Grégoire de Nazianze le fait Apôtre de l'Épire ; Nicéphore Calixte, de la Thrace ; et saint Jean Chrysostome, de la Grèce ; le Martyrologe Romain, au 31 octobre, dit de saint Eustache, que saint Paul, au même chapitre XVI, appelle son bien-aimé, qu'il fut établi par saint André, premier évêque de Constantinople, qui ne portait encore alors que le nom de Byzance.
Baronius, en ses Notes, cite aussi des auteurs qui disent qu'il a parcouru la Cappadoce, la Galatie et la Bithynie jusqu'au Pont-Euxin. D'autres affirment qu'il a prêché chez les Sogdiens et les Saces, peuples voisins de la Scythie et faisant partie des Bactriens. On dit même, qu'il étendit ses courses évangéliques dans l'Ethiopie et dans l'Égypte et qu'il y délivra saint Matthieu d'un cachot sale et obscur, où les idolâtres l'avaient jeté. On ignore les détails de sa vie apostolique. Mais nous avons une source fidèle, d'où nous pouvons tirer les circonstances de son martyre : c'est la lettre que les prêtres et les diacres d'Achaïe, ses disciples, écrivirent sur ce sujet à toutes les églises d'Orient et d'Occident.
André, après une infinité de courses pour porter de tous côtés le flambeau de l'Évangile, étant revenu en Achaïe et dans la ville de Patras, qui en était la capitale, y recommença avec une ferveur merveilleuse à déclamer contre les idoles et à persuader aux peuples de reconnaître Jésus-Christ. Égée, qui était proconsul de la province, en étant averti, se rendit en diligence dans cette ville pour arrêter le progrès de ses prédications et pour maintenir le culte des faux dieux. Dès qu'André sut son arrivée, il n'attendit pas qu'il le mandât. Mais, dans le zèle de la gloire de Dieu dont son cœur était enflammé, il l'alla trouver le premier et l'exhorta à reconnaître pour son Rédempteur et son juge le Fils de Dieu, Jésus mort sur la croix. Le gouverneur ne comprit rien aux vérités chrétiennes. Il menaça André de la flagellation et du crucifiement qu'avait subis son Maître, s'il ne sacrifiait aux dieux de l'empire. André lui dit qu'il ne sacrifierait jamais que l'agneau sans tache, Jésus-Christ; et non à des démons déguisés en dieux, mais au seul Dieu véritable ; que, du reste, mourir sur la croix était l'objet de ses plus ardents désirs. En attendant ce supplice, on le renferma dans une dure prison. Mais aussitôt le peuple se souleva, menaçant de tuer Égée et de mettre l'Apôtre en liberté. Celui-ci les apaisa et leur dit que le Chrétien triomphe non en tuant, mais en mourant.
Lorsque la sédition fut calmée, le gouverneur fit comparaître André devant son tribunal ; et, après un interrogatoire où il le trouva inflexible, ne comprenant rien à cette folie de la croix, traitant le bienheureux Apôtre d'extravagant et d'insensé, il le condamna à être étendu sur le chevalet et à y être fouetté cruellement. Sa sentence fut exécutée avec toutes sorte d'inhumanités. Le corps d'André fut tout déchiré; et ce supplice fut encore augmenté par la rigueur du froid qui, entrant dans ses plaies, lui causait une douleur insupportable. Mais, bien loin de diminuer son courage, il lui inspira une nouvelle ardeur de souffrir pour son divin Maître : de sorte que, étant revenu devant le proconsul, il lui parla avec plus d'éloquence et de force que jamais du bonheur de mourir sur une croix pour Jésus-Christ.
Égée, voyant bien qu'il ne gagnerait rien sur le cœur inflexible d'André, commanda enfin qu'il fût crucifié. Mais, pour rendre son supplice plus long, il ordonna aux bourreaux de ne point l'attacher avec des clous, qui lui auraient fait perdre aussitôt tout son sang, mais seulement avec des cordes, comme si on l'étendait sur le chevalet. Il se fit alors un concours de peuple qui criait : « Qu'a fait ce juste et cet ami de Dieu pour être mis à mort? Il ne faut point souffrir qu'on exécute sur lui un arrêt si injuste. » Mais André, qui ne se sentait pas de joie en se voyant si près de souffrir pour son cher Maître, éleva la voix de toutes ses forces et conjura cette assemblée de Chrétiens de ne point empêcher et de ne point retarder son martyre.
Dès qu'il aperçut de loin la croix sur laquelle il devait être attaché, il s'écria avec un merveilleux transport d'allégresse : « Je vous salue, Croix vénérable, qui avez été consacrée par l'attouchement du corps de Jésus Christ et ornée de ses précieux membres, comme d'autant de perles d'une valeur inestimable. Avant que cet aimable Sauveur fût mort entre vos bras, l'on n'avait pour vous que de l'horreur. Mais maintenant vous avez tant de charmes, qu'on n'a plus que des empressements tout célestes d'être étendu sur votre bois. Ceux qui ont la foi savent quelles douceurs vous renfermez dans votre sein, et quelles récompenses sont préparées à ceux qui meurent en vous embrassant. C'est donc avec confiance et avec plaisir que je viens à vous. Aussi je vous prie de me recevoir agréablement comme le disciple de Celui qui a racheté le monde par vous. Je vous ai toujours aimée, et les plus ardents désirs de mon cœur ont été de vous embrasser. O charmante Croix, qui avez acquis une beauté incomparable par les divers membres de mon Seigneur ! O Croix que j'ai recherchée sans relâche et qui êtes préparée pour satisfaire les plus tendres inclinations de mon âme, recevez-moi des mains des hommes et rendez-moi à mon Maître, afin que je passe de vos bras entre ceux de Celui qui « m'a racheté, étant couché sur vous ! »
Lorsqu'il fut près de la Croix, il se dépouilla lui même, il donna ses vêtements aux bourreaux et se livra entre leurs mains. Saint Pierre Chrysologue dit qu'il monta sans l'aide de personne sur ce bois qui lui était préparé, tant était grand le désir qu'il avait de l'embrasser! Il y fut attaché avec des cordes, suivant l'ordre du proconsul. Le nombre des assistants était d'environ vingt mille personnes, parmi lesquelles était Stratocle, frère d'Égée, qui disait hautement avec les autres que c'était une injustice de traiter de la sorte un si saint homme. Il fut deux jours en cet état, pendant lesquels il ne cessa d'exhorter les fidèles, qui l'environnaient, à demeurer fermes dans la foi et à mépriser un tourment passager, lorsque l'occasion s'en présenterait, pour mériter un bonheur éternel.
Tout le peuple, extrêmement affligé de le voir souffrir si longtemps, alla trouver le proconsul en son palais et lui remontra que c'était une impiété de tourmenter de la sorte un homme saint, chaste, pieux et modeste et qui lui avait enseigné une doctrine très-salutaire ; et qu'il fallait absolument qu'il le fît détacher de la croix. Égée, craignant une sédition, promit qu'il le ferait ; et il vint effectivement pour cela au lieu du supplice. Dès qu'André l'aperçut, il s'écria : « Que venez-vous faire ici, Égée ? Si c'est pour croire en Jésus-Christ, à la bonne heure, je vous assure qu'il vous fera miséricorde; mais si c'est pour me faire descendre de la croix, sachez que vous n'en viendrez pas à bout et que j'aurai la consolation d'y mourir pour mon cher Maître. Je le vois déjà, je l'adore et sa présence me comble de joie. Je n'ai point d'autre regret que celui de votre damnation qui est inévitable, si vous ne vous convertissez, maintenant que vous le pouvez. Car peut-être ne le pourrez-vous pas, lorsque vous le voudrez. Égée, nonobstant cela, ne laissa pas de commander aux bourreaux de le détacher; mais il leur fut impossible de le faire, parce que lorsqu'ils s'approchaient de la croix, les forces leur manquaient et leurs bras devenaient comme perclus.
Alors le Saint fit cette prière à haute voix : « Ne permettez pas, mon Seigneur, que votre serviteur, qui est attaché à cette croix pour la confession de votre nom, en soit délié; ne souffrez pas que je reçoive cette humiliation de la part d'Égée, qui n'est qu'un homme corruptible ; mais recevez-moi, s'il vous plaît, entre vos mains, tout plein des connaissances de vos grandeurs que ce supplice m'a données. Vous êtes mon cher Maître, que j'ai connu, que j'ai aimé et que je désire uniquement contempler. C'est en vous que je suis ce que je suis; et il est temps que je me réunisse à vous, comme au centre de tous mes désirs et à l'objet de toutes mes affections. » Comme il achevait ces paroles, il fut, à la vue de tout le monde, environné d'une lumière dont on ne pouvait souffrir l'éclat. Et, une demi-heure après, cette lumière se dissipant peu à peu, il envoya son esprit dans le ciel pour y recevoir le salaire de l'immortalité.
Maximille, femme d'un sénateur, ayant remarqué, d'une grotte où elle était, qu'il avait rendu l'âme, alla détacher son corps de la croix avec l'aide de ses domestiques; elle l'embauma avec de précieux parfums, et elle l'enterra dans un lieu qu'elle avait destiné pour sa propre sépulture. Egée en fut fort irrité contre elle ; mais n'osant pas la maltraiter, il résolut de s'en plaindre à l'empereur et d'envoyer des députés vers lui, pour l'informer de cette action. Or, comme il entendait des témoins pour dresser sa relation, il fut saisi par un démon furieux, qui l'entraîna au milieu de la place publique et l'y étrangla. Stratocle, son frère, qui avait cru en Jésus-Christ, ne voulut point hériter de ses biens ni même toucher à rien de ce qui lui avait appartenu, de crainte de participer à son crime ; mais il le fit enterrer où l'on enterrait les morts-nés. Tous les habitants de Patras furent tellement épouvantés d'un châtiment si terrible, qu'ils embrassèrent la Religion chrétienne sans différer. Le martyre de saint André arriva le 30 novembre 62, sous l'empire de Néron.
La Martyrologe Romain fait mémoire au 9 mai d'une célèbre translation du corps de saint André à Constantinople, dans une église bâtie en l'honneur des Apôtres. On ne sait pas combien de temps ces saintes reliques y sont demeurées; mais il est constant que de là elles ont été transportées à Amalfi, au royaume de Naples, où elles sont encore à présent, à la réserve de quelques parties qui ont été distribuées à d'autres églises; et il en sort aussi une huile odoriférante qui sert souvent à la guérison des malades. Saint Grégoire le Grand, faisant l'office d'apocrisiaire du Saint-Siége auprès de Tibère II, empereur d'Orient, obtint de lui, pour présent de sa légation, un bras de saint André qu'il apporta à Rome. Ce qui fit qu'il changea sa maison paternelle en un monastère et en une église sous le nom de cet Apôtre, où il mit ce précieux trésor. Il dit en son Épître à Rusticienne, qu'André y faisait de grands miracles, et qu'il n'assistait pas moins puissamment les religieux qui la desservaient, que s'il eût été leur propre abbé. Son chef fut aussi apporté à Rome en 1462, ayant été tiré de Patras, lieu de son martyre, par un prince appelé Thomas, frère de Constantin, le dernier empereur des Grecs. La France possède aussi plusieurs portions de ses ossements.
La fête de saint André, séparée de celle des autres Apôtres, est très-ancienne dans toute la Chrétienté, comme il paraît dans les Martyrologes et dans les auteurs qui ont écrit sur les Offices ecclésiastiques. La France la célèbre depuis près de huit siècles avec une vénération particulière, par l'ordre du concile de Mayence, tenu en 813. Cet Apôtre a souvent assisté miraculeusement les Chrétiens, dans les guerres contre les infidèles et les hérétiques. Il était le protecteur spécial de l'empire d'Orient ; et il l'est encore de l'Écosse, de la Hongrie et de la Bourgogne. »
Source : Mgr Paul Guérin, Vie des Saints, T. 4e, Victor Palme, Librarie-Éditeur, Paris, 1892, pp. 410-418
Inscrivez-vous à notre bulletin pour recevoir des nouvelles à propos des vidéos et articles qui seront publiés sur le site vaticancatholique.com
praise be the Lord Jesus Christ, all honor and glory be to His holy mother,Mary.
plaquemine 7 moisLire plus...Absolument De plus il est écrit beaucoup chercheront à entrer qui ne le pourront pas’
Derriey 7 moisLire plus...GLOIRE A DIEU METTONS NOUS A LA DISPOSITION DE JESUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR. AGISSONS, obéissons lui. Combattons sous ses ordres avec obéissance. Amen
MICHEL 8 moisLire plus...Nous réfutons votre objection dans notre livre, Hors de l'Église catholique il n'y a absolument pas de salut : https://vaticancatholique.com/catechisme-saint-pie-x-bapteme-de-desir/
Monastère de la Très Sainte Famille 9 moisLire plus...bonjour vous dites un peu partout sur votre site que le dogme du baptême de désir n'est pas catholique, pourtant il est dans le catéchisme de Saint Pie X
TD 9 moisLire plus...Magnifique ! Merci !
Émilie 10 moisLire plus...Merci infiniment de mettre ce calendrier Liturgique à disposition ! Un bon repère, même pour ceux qui, hélas, n'ont pas la possibilité de participer à la Liturgie traditionnelle... Merci également...
smsc 12 moisLire plus...Bonjour, et merci ! C'est une immonde imposture, ils recevront le digne salaire de leurs œuvres les enfants de Belial qui ont fait cela !
Frédéric 1 anLire plus...bien dit, les MHFM, je suis entièrement d'accord avec vous.
Marcel 1 anLire plus...Merci infiniment pour votre investigation, j'ai aussi eu la même sensation, que cette Sœur Lucie n'était pas la vraie, et cette grande différence en regardant les photos, il faut être...
Rose 1 anLire plus...